1. Luce bourgeoise adultère malgré elle (9) : La "serial seductress" s'écarte de son chemin


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds

    ... était devenu craintif, dépendant, replié sur lui-même, paralysé en présence des femmes…
    
    Madame Saint-Sauveur avait été particulièrement affectée par l'attitude de ce jeune homme qui, sans étudier ni travailler, ne quittait pas la mercerie sans sa mère. C'est ainsi qu'elle décida de contribuer à "sauver le soldat Benjamin" de sa prison maternelle. Elle se rendit un matin à la mercerie pour porter une guêpière dont il fallait changer une agrafe récalcitrante. Demandant à ce que ce petit travail soit fait pour le soir même, Clotilde Minardon lui assura que sa retoucheuse allait faire cela dans les délais et proposa que son fils lui rapportât dans l'après-midi. Ces paroles firent rougir le jeune Benjamin qui se tenait debout derrière sa mère. Il en fut tout émoustillé, lui qui se masturbait si souvent en pensant aux clientes de la mercerie parmi lesquelles madame Saint-Sauveur tenait la première place. Dès que la guêpière fut prête en fin d'après-midi, il sauta sur son vélo pour rejoindre la villa des Saint-Sauveur non sans avoir fantasmé toute la journée sur la belle cliente, à grand renfort de poignet et d'éjaculations dans une culotte volée à sa maman, malgré le spectre d'une surdité précoce inévitable selon les sermons de sa génitrice.
    
    Tandis qu'il pédalait de toutes ses forces avec la précieuse guêpière qu'il avait glissé sous son blouson pour mieux sentir la présence illusoire de la belle bourgeoise et s'imaginer l'aidant à l'enfiler sur sa poitrine nue, Luce se ...
    ... faisait couler un bain après avoir quitté sa robe et enfilé sur ses dessous un peignoir en satin blanc. Jetant son vélo aux pieds de l'escalier de la villa, le jeune Minardon courut sonner nanti de son précieux trésor. Il attendit un long moment qui lui permit de reprendre son souffle jusqu'à ce que les battements de son coeur entrent en cadence avec les talons des mules de la femme du sénateur-maire qui vint ouvrir la porte.
    
    - Oh Benjamin ! Mais tu es tout essoufflé mon pauvre garçon, fit-elle en le gratifiant d'un large sourire.
    
    - C'est… c'est… c'est que… je… je me suis dépêché, madame, bafouilla-t-il en fixant ses yeux sur le visage de reine de la dame de ses pensées et de ses turpitudes solitaires réunies.
    
    - Tu es adorable, répondit-elle, en posant une main sur sa joue et elle ajouta : viens je vais te faire un jus d'orange, car tu es trempé de sueur.
    
    Il la suivit jusqu'à la cuisine, fasciné par le balancement de ses hanches qui roulaient sous le satin du peignoir. Une violente érection le saisit qu'il dissimula en appuyant le colis sur son ventre, manoeuvre vaine qui augmenta d'autant son trouble lorsque son pénis se dressa contre les baleines de la guêpière à travers le sac de plastique. Luce, après avoir pressé l'orange, se retourna et n'eut aucun doute sur l'origine de la rougeur de son visage et de la tension qui le paralysait. Elle le regarda boire d'un trait son verre et fut touchée par ce visage de grand garçon emprunté, avec ses cheveux châtains raides qui ...
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