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Luce bourgeoise adultère malgré elle (9) : La "serial seductress" s'écarte de son chemin
Datte: 02/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds
... Il se livra sans retenue au bonheur de sentir les effets rafraichissants de la main féminine explorant ses aisselles puis son torse où ses mamelons subirent une attention particulière gratifiée de frissons béats. Il ne put s'empêcher de comparer avec les frictions brutales des gants de toilettes rugueux utilisés par sa maman. - Ca va mieux, mon chéri ? déclara Luce d'une voix froufroutante tandis que son sourire se faisait langoureux à mesure que la main glissait vers le ventre et que son regard s'alourdissait. - Oui madame ! souffla-t-il plus qu'il ne répondit distinctement, terrorisé à l'idée que la dame découvrît son érection. Alors madame Saint-Sauveur poussa l'éponge plus loin jusqu'à ce qu'elle s'appuyât contre la tige du jeune mâle. Tandis qu'il fuyait son regard et que ses muscles se contractaient, Luce scrutait le visage du jeune homme pour y chercher les signes d'un abandon espéré. Tout en insistant sur le pubis en frôlant le pénis tendu, son autre main lâcha le bord de la baignoire pour se poser sur l'épaule de Benjamin, provoquant un certain déséquilibre qui accentua l'embarras du garçon. C'est à ce moment qu'elle osa enrouler l'éponge moelleuse autour de la fière et jeune ardeur. Sentant le contact étranger et inédit sur sa verge en érection, Benjamin eut une réaction si brutale de stupéfaction que le saut de cabri qu'il ne put retenir précipita la glissade de madame Saint-Sauveur dans la baignoire. Unis dans un éclat de rire commun, ils se ...
... retrouvèrent face à face, lui dans sa nudité et elle peut être encore paradoxalement plus dénudée dans sa combinaison trempée et collée à son corps. - Oh ! madame excusez-moi, fit Benjamin tout penaud, je… je ne voulais… je… je vais sortir. - Allons gros bêta ! Ce n'est pas grave. J'ai été maladroite. Et puis, je ne suis pas nue ! Et en disant cela elle se redressa, émergeant de la mousse comme le Nautilus des abysses. La combinaison trempée adhérait à son buste en révélant un spectacle ensorcelant où les dentelles du soutien-gorge jouait un rôle révélateur pour une poitrine provocatrice aux pointes effrontées. Ils restèrent médusés un long moment : lui, halluciné par les bourgeons vivants qui suivaient le rythme de la respiration saccadée de la femme ; elle, suspendue au regard du jeune homme dont l'intensité la pénétrait. Elle fit un premier geste en se mettant à genoux entre les cuisses de Benjamin, ce qui rapprocha leurs corps dangereusement au point se frôler. Il s'accrocha aux bords de la baignoire en reculant sous la menace tentatrice jusqu'à ce qu'il ne pût plus reculer. Elle sortit l'éponge de l'eau pour lui frotter les épaules tandis que son autre main se posa sur sa nuque. Son visage vint se nicher nécessairement contre le buste sublimé par le linge trempé qui découvrait plus qu'il ne protégeait les seins gonflés aux mamelons persécuteurs. Son épiderme, victime d'une chair de poule démasquant son trouble, trahissait l'inavouable. - Tu as froid Benjamin ? ...