Ténor du barreau
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
fh,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
pénétratio,
couple,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... Mais si par bonheur, quelques flammèches avaient surnagé au raz-de-marée, peut-être le feu pourra-t-il être ranimé. Dans le meilleur des cas, ce ne sera plus l’incendie de Rome, mais que la chaleur d’un simple brasero l’échauffe quelque peu lui serait déjà un immense bonheur. Le plaisir de nos compagnes plongeant ses racines bien davantage dans l’âme romantique féminine, l’abnégation et le don de soi que dans les seules synapses nerveuses, la puissance des sentiments qui les submergent tous deux permettra peut-être un petit miracle…
Quand, déposée sur le lit, Marinette ouvre les yeux, presque à regret, Julien lui sourit. Ce n’est pas le sourire suffisant du mâle triomphant qu’il affiche, c’est le sourire timide, étonné, presque contrit, de l’amant simplement heureux d’avoir offert à sa partenaire un bonheur rare.
Délicatement, il caresse ses boucles, dépose des petits baisers sur son front et ses joues.
— Viens, souffle-t-elle, prend-moi !
La fleur carmine, repue, a déjà quelque peu replié ses pétales, mais Julien sait comment ranimer la floraison. Se coulant entre les cuisses de sa belle, il glisse son membre entre les lèvres du fruit velouté, le fait coulisser doucement dans le fendu, effleurant par instant le bouton nacré. Il ne faut pas longtemps pour que la fleur s’épanouisse et se couvre de rosée. Il voit le rouge monter aux joues de sa belle, sa poitrine s’empourprer, ses tétons s’ériger. Il entend son souffle s’accélérer.
Julien promène son sexe dans la ...
... fente humide, teste l’ouverture de la grotte et comprend qu’il n’aura pas besoin d’un quelconque sésame pour en franchir le seuil.
La queue glisse sans encombre jusqu’au fond du conduit où elle reste immobile un moment. Les yeux dans les yeux, les amants savourent leur parfaite connexion : ils n’ont pas besoin de parler pour exprimer le ravissement béat qu’ils éprouvent, l’amour brûlant qui les étreint.
Quand Marinette ferme les yeux, Julien entame un travail de sape de longue haleine. Il faudra bien cela pour espérer transporter la belle au puits dormant. Le bâton turgide va et vient à bon rythme dans le vestibule velouté, s’en échappe pour harponner le clitoris tapi dans les nymphes ennoyées, replonge à l’assaut de l’étroite gangue. Ses navettes puissantes sont vaillamment accompagnées par Marinette qui roule du bassin, tangue et rue pour que le nœud racle bien sa voûte granuleuse, allume chacune des terminaisons nerveuses qui la tapisse.
Le souffle court, Marinette ressent les petites convulsions de plus en plus rapprochées du mandrin qui la taraude et l’impatience de ses propres chairs. Lorsque la queue tout à coup bute et s’immobilise au plus profond de son antre, elle ouvre des yeux écarquillés : il lui a semblé sentir la chaleur irradiante du premier jet de foutre. Une sensation presque inédite qui la sidère et la propulse dans le plaisir. Elle perçoit avec bonheur les convulsions qui accompagnent chacun des jets suivants, s’en réjouit si fort qu’elle rejoint ...