1. Poste restante


    Datte: 28/08/2025, Catégories: f, h, hplusag, hagé, extracon, inconnu, sales, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation coprolalie, init, bourge, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... dans un sens amical. Comme il répète sa question avec obstination, je finis par m’entendre dire :
    
    — … Oui, monsieur. Je veux sortir maintenant.
    — Reviens demain si tu veux, je te montrerai l’objet de la photo.
    
    Et il s’écarte, me laissant m’échapper. Dehors, j’ai les jambes qui tremblent et ai du mal à marcher pour rejoindre mon auto. Je me retourne plusieurs fois pour m’assurer qu’il ne me suit pas.
    
    Rentrée à la maison, il me faut plusieurs minutes pour retrouver mon calme. J’ai vraiment eu la peur de ma vie ! Dans cette gare, les toilettes sont isolées et peu de personnes les utilisent aux heures creuses. Je réalise seulement alors que je lui ai involontairement avoué que j’avais vu, et donc, regardé la photo ! Ce qui pourrait le conforter dans l’idée d’avoir affaire à une « voyeuse » intéressée et disposée à regarder. C’est à l’évidence ce qu’il recherche.
    
    Bien entendu, je me pose plusieurs questions. Savait-il que j’avais vu celle différente de l’autre jour ? Était-il réellement le propriétaire des attributs montrés sur ces images en noir et blanc ? Cette aventure… « mésaventure », devrais-je dire, ne me laisse pas indifférente. J’y pense constamment et l’image de cet homme associée à cette image de son sexe finit par m’obséder.
    
    Le lendemain, j’ai un après-midi de libre et je dois aller faire quelques achats en ville. Cette perspective n’est pas innocente et la voiture me donne une liberté préméditée. Je sais déjà, au fond de moi, que j’irais. L’envie est ...
    ... la plus forte, une pulsion incoercible inconnue jusqu’alors chez moi.
    
    Et j’y vais !
    
    En sueur, le cerveau en effervescence, j’arrive devant les toilettes, les jambes coupées, le souffle court. Personne en vue. Je rentre. La porte de « ma » cabine est entrouverte. Je m’y précipite et m’enferme rapidement. Je vais tout de suite regarder derrière la vasque d’eau. Une nouvelle photo y est cachée ! Un gros plan d’un gland d’où jaillit du sperme ! Je suis folle, je mouille instantanément.
    
    C’est alors que j’entends la porte des toilettes s’ouvrir, comme l’autre fois. Personne ne rejoint une cabine : c’est lui, je le sais, je le sens. Il m’attendait ! Je n’en peux plus, j’ouvre mon manteau, soulève la jupe, baisse mon string et me masturbe violemment tout en regardant et la porte et la photo.
    
    On se déplace dans le couloir. Par la fente sous la porte, j’aperçois les chaussures d’un homme. Je devine qu’il est contre la porte et qu’il écoute. Je me retiens de respirer fort, mais soudain, la peur et la terreur que m’inspirent la situation et cet homme, décuplent mon plaisir et me donnent à jouir rapidement. Mon orgasme est trop fort, je ne contrôle plus rien et, malgré moi, je pousse un gémissement qui accompagne le bien-être qui envahit tout mon corps. C’est la voix de l’homme qui me fait sursauter et me ramène à la réalité.
    
    — C’est toi ! Elle te plaît bien, ma bite ? Tu as joui, je t’ai entendue, cochonne !
    
    J’ai failli m’évanouir de panique. Je comprends que je suis ...
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