1. Poste restante


    Datte: 28/08/2025, Catégories: f, h, hplusag, hagé, extracon, inconnu, sales, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation coprolalie, init, bourge, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... si là aussi il y a des inscriptions similaires, ce n’est pas la sienne. Pas la mienne… celle avec la photo. J’en déduis que chacune a ses propres correspondants, comme une poste restante personnelle. Je décide donc d’attendre que « ma » cabine se libère.
    
    C’est très vite chose faite. Je quitte la cabine étrangère et je me précipite dans la voisine pour m’y enfermer tout excitée. Je ne m’inquiète même pas de ce qui aurait pu advenir si on m’avait vue sauter d’une cabine à l’autre.
    
    La tête en ébullition, je m’avance doucement vers la cuve de la chasse d’eau. Une photo différente est glissée derrière le réservoir, elle montre encore le sexe dressé d’un homme, tenu par une main serrée autour et qui semble le branler. Une goutte de foutre perle au bout du gland sortant d’un méat dilaté. Je me rends compte que je mouille. Sans pouvoir résister, je glisse ma main sous ma jupe, j’écarte ma culotte et me mets à me caresser en fixant cette bite que je trouve pourtant vulgaire, sale et vicieuse.
    
    J’ai honte de me conduire ainsi, mais je ne peux résister. Je suis comblée dans mon couple et ces masturbations sont exceptionnelles. Il ne me faut pourtant que quelques minutes pour jouir sous les caresses de mes doigts tant l’excitation de mes sens est intense. La situation dans laquelle je me trouve y est certainement pour beaucoup.
    
    Je remets mes habits en place quand j’entends une personne approcher et essayer d’ouvrir la porte. J’ai un moment de panique. Est-ce celle à qui ...
    ... était destinée la photo ou celui à qui appartenait la bite ? Je reste silencieuse, retenant ma respiration. Ma peur devient plus grande quand je me rends compte que cette personne ne va pas dans une autre cabine, comme normalement, mais semble patienter devant celle que j’occupe. Je suis piégée.
    
    Il me faut bouger, prendre sur moi, sur ma frayeur. Je me résigne à sortir. Je tire la chasse d’eau et ouvre la porte, submergée de peur et de honte. Stupeur, je me trouve devant un homme !
    
    — Alors, ma belle, elle vous plaît ma queue ?
    
    Je reste interdite… paniquée. Impossible de bouger et de prononcer le moindre mot. Sa voix est grave et douce, presque rassurante. C’est un homme, pas très propre, d’allure rustre. Il doit avoir la soixantaine bien passée. Il n’a plus beaucoup de cheveux et est mal rasé. Il a le regard d’un illuminé et reste planté devant la porte des toilettes, m’interdisant la sortie. Il me fait immédiatement penser à la caricature d’un exhibitionniste avec un imperméable trop long. Je m’attends à le voir écarter les pans de son habit pour m’exhiber ses organes génitaux.
    
    — Laissez-moi sortir, vous êtes chez les dames !
    
    Ma voix tremble et je me rends tout de suite compte de la stupidité de ma phrase et du mot « dame ».
    
    — Allons, je sais bien que je suis chez les « dames » ! Dis-moi juste si tu as aimé la photo de ma bite.
    
    Je ne sais que répondre, comme pétrifiée. Pourtant il parle sans aucune agressivité, comme pour m’amadouer, utilisant le tutoiement ...
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