Poste restante
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
hagé,
extracon,
inconnu,
sales,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
coprolalie,
init,
bourge,
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... prise au piège et sans la venue d’un secours, il va abuser de moi… et même plus. Je me mets à pleurer et il doit entendre mes sanglots, car d’une voix qui se veut rassurante, il me dit au travers de la porte :
— N’aie pas peur, ma belle ! Je veux juste que tu regardes mon bâton de berger pendant une petite paire de secondes. Allez, ouvre, tu vas voir ! Et je materai ta chatte, si tu veux bien.
Je reste pétrifiée, collée contre le mur du fond de la cabine. J’ai du mal à me tenir debout tellement j’ai peur. Peur ? Ou excitée ? Je comprends vite que c’est l’envie de regarder son sexe et de montrer mon intimité qui me rend folle. Rien d’autre !
Cette situation m’excite tellement que j’en oublie toute précaution et prudence. Un peu comme si je devais me laisser baiser sans protection par un inconnu.
En tremblant, je défais le loquet de la porte. Il la pousse doucement vers moi alors que je me réfugie au fond de la cabine. Je ne sais pas où je trouve la force de lui dire :
— Non ! S’il vous plaît, ne me faites pas de mal !
Sans même écouter ma supplique, il referme et verrouille la porte derrière lui. Quand il se retourne vers moi, je vois son visage tout rouge, congestionné par l’excitation du moment. J’ai l’impression d’être un poisson pris au filet, filet qu’il a tendu avec beaucoup d’application pour m’attraper.
— Je t’ai dit que je ne te ferais pas de mal, ne t’inquiète pas ma jolie ! Seulement voir et regarder. Je ne veux pas te toucher… Tout pour le ...
... plaisir des yeux.
Disant ces mots, il ouvre sa braguette et fait jaillir son sexe à la lumière des toilettes. Il est vraiment énorme ; je ne peux détacher mon regard de cette queue devant mes yeux !
— Elle est belle, non ? Mieux qu’en photo ? Dis-moi. C’est ça qui m’excite, moi. Toi tu t’es envoyée en l’air en matant ma queue ; moi, c’est de te voir la regarder qui m’excite. Allez, dis-le !
Impossible d’émettre le moindre son ! Il a un sexe comme jamais je n’en avais vu… deux fois celui de mon mari ! J’ai déjà envie de jouir encore une fois… Mais que m’arrive-t-il ? Moi, installée dans une vie bourgeoise, reconnue, aimée et admirée. Que m’arrive-t-il de mouiller devant le sexe d’un inconnu barbu, salle, vicieux et pervers, au point d’en perdre tout discernement ?
— Alors ?
— Oui, elle est très grosse.
À ces mots, il commence à se masturber devant moi. Je vois son gland énorme, rouge-violet, jaillir et disparaître dans son prépuce au rythme de sa masturbation. Il respire de plus en plus vite.
— Elle est belle ma queue, hein ? Tu aimerais l’avoir dans ton cul ou ta chatte, vicieuse de bourge ? Tu voudrais qu’elle te bourre le ventre avec son jus. Tu vas voir ma purée… Montre-toi ! Tu as envie comme moi de te montrer.
Plus il dit des mots crus, plus il m’insulte et plus je suis excitée. Il a raison, je veux qu’il me voie. Je perds pied. J’ai envie de me laisser regarder, là, dans des toilettes publiques, par un individu que je ne connais pas. Je me sens ...