Message de santé publique féminine
Datte: 24/08/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
nopéné,
Auteur: volatyl, Source: Revebebe
... bouge plus, mais continue à me regarder tout en buvant son thé à courtes gorgées.
Je porte mes mains sur son pantalon et ouvre le premier bouton. Elle ne recule pas, mais sa respiration s’accélère. Je baisse la fermeture éclair lentement, puis fais glisser le vêtement jusqu’à ses genoux.
Une exhalaison pleine d’hormones féminines me prend les narines et mon pouls s’emballe. Une odeur douce, sucrée et épicée en même temps. Sa culotte aperçue le matin est devenue transparente d’humidité. Comme je la roule sur ses cuisses, Céline avance son bassin vers moi en même temps, le souffle saccadé, mais la tasse toujours devant sa bouche à boire ou faire semblant à courtes gorgées.
Même si nous nous connaissons vraiment bien, c’est la première fois qu’elle se dévoile ainsi. Si je connais ses habitudes d’entretiens pileux, entre les mots de sa bouche et le constater de mes yeux, il y a un monde d’écart. Oui, elle est belle, mais là, je sais que c’est de partout.
Ses lèvres à la hauteur de mes yeux, trempées et turgescentes, sa féminité attaque directement mon cerveau reptilien sans autre forme de procès.
J’approche les doigts et elle écarte doucement les cuisses afin de me faciliter l’accès.
— Serre tes muscles, que je vois si tu tiens.
Je vois la languette dépasser en évitant tout contact de mes doigts avec sa peau, sinon je ne réponds plus de rien. Je la tire avec une lenteur exaspérante pour profiter visuellement de chaque millimètre du mouvement. Une première ...
... boule sort dans un bruit de succion, mais aussi suivie d’un soupir de Céline. La deuxième suit la première, mais le soupir est beaucoup plus fort et teinté de regret. Son plaisir coule littéralement sur ses cuisses devant mes yeux.
Un très lointain éclair de lucidité me dit de ne rien faire d’autre. Je remonte sa culotte, puis son pantalon que je rattache.
Je lui tends les fameuses boules de geisha qu’elle prend délicatement.
— Merci, me souffle-t-elle.
Ce « merci » contient à lui seul beaucoup de sens que nous comprenons tous les deux. Je ne réponds pas immédiatement et la regarde juste en portant mes doigts à mes lèvres, pour tant en mémoriser l’odeur qu’en découvrir le goût suave. Ce simple geste qu’elle me regarde faire l’illumine tel un phare.
Je décide d’essayer un peu d’humour pour détendre ce moment électrique où nous sentons que nous risquons de basculer tous les deux.
— Tu les as largement assez portées pour aujourd’hui. Par contre, je trouve que je les ai retirées beaucoup trop facilement. Il faudra que tu essaies de mieux les retenir et que je vérifie à nouveau.
Là, c’est un coup de poker, ça passe ou…
— Oui, tu as raison, il faudra vérifier encore, mais je crains que la musculation prenne un moment. Je compte sur toi pour me motiver et me rappeler à l’ordre, me lance-t-elle sans autre forme de procès, l’air sérieux, mais les yeux plus brillants que jamais. D’ailleurs demain, je vais venir en robe puisque c’est mieux pour les exercices.
Il ...