1. Violée en Turquie: Première Partie


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byinnbay, Source: Literotica

    ... éraflures sur le casque et me dit: "Mmmm... peut-être ça, commotion cérébrale!!!"
    
    Sarah semblait un peu secouée, mais je n'avais pas l'impression qu'elle souffrait d'une blessure à la tête. Je voulais juste que le docteur examine sa jambe, qu'il y appose un pansement pour que nous puissions continuer notre périple après avoir récupéré notre scooter.
    
    Le vieil homme enleva le casque et me le tendit. Il écarta les cheveux de Sarah pour examiner son cuir chevelu près du point d'impact.
    
    Après une longue inspection où j'eus l'impression qu'avec ses longs doigts osseux, il caressait davantage les cheveux blonds et soyeux de Sarah plus qu'il ne l'examinait (tout en jetant des regards furtifs à la photo de sa petite-fille accrochée au mur), il se tourna vers moi et me dit: "Elle a bosse...commotion... peut-être."
    
    Puis, il continua son examen afin d'évaluer la blessure à la jambe de Sarah.
    
    Au contraire d'Istanboul où les femmes s'habillaient à l'occidentale, les femmes en province portaient souvent le voile et, comme toute bonne musulmane, couvraient leurs bras et leurs jambes.
    
    Pour sa part, Sarah portait ce jour-là des shorts courts, moulant son entrejambe et un chemisier en coton blanc à manches courtes.
    
    Tout en regardant la blessure de Sarah, je me rendis compte que le vieux docteur reluquait ses jambes fines et blanches, légèrement bronzées.
    
    Après avoir évalué la coupure de Sarah, il récupéra sur une tablette une bouteille d'iode pour désinfecter la plaie. ...
    ... Sarah grimaça alors que le médecin procéda à nettoyer sa blessure.
    
    En regardant de plus près l'éraflure, je vis qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter... ce qui était un soulagement. Le médecin appliqua un pansement sur la plaie qu'il maintint en
    
    place avec du ruban adhésif.
    
    Sarah et moi pensions que ce serait tout et elle commença à s'asseoir. Le médecin posa toutefois une main sur son épaule et la fit s'allonger à nouveau. Il fit un geste avec ses mains pour lui faire remonter sa blouse jusqu'à la naissance de son soutien gorge.
    
    "Possible blessure.. intérieur. Je vérifie..."
    
    Le vieil homme ausculta lentement son ventre avec ses doigts longs et décharnés.
    
    Il y avait une atmosphère trouble dans la pièce alors qu'il examinait ma femme. Je pouvais voir ses mains trembler et son souffle était court.
    
    Puis il dit: "Examiner... ganglions aisselles... ouvrir blouse".
    
    Même moi qui n'était pas médecin, je savais bien que l'égratignure sur sa jambe ne se serait pas infectée aussi rapidement et n'aurait pas pénétré ses ganglions en si peu de temps, mais je fis un signe de tête rassurant à Sarah qui commença à déboutonner sa blouse.
    
    Toujours couchée sur le dos, la blouse entrouverte de Sarah laissait entrevoir la partie supérieure de son soutien-gorge en dentelle où se dessinait la naissance de ses seins fermes et ronds (95b).
    
    Le médecin glissa ses mains sous ses aisselles et commença à lui palper les ganglions.
    
    Au début, je pensais que le tremblement de ...
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