1. Violée en Turquie: Première Partie


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byinnbay, Source: Literotica

    ... ses mains originaient de sa nervosité, mais, compte de la façon dont il auscultait ma femme, je réalisai que toucher Sarah excitait le vieux pervers.
    
    Sans s'y méprendre, le vieux Turc éprouvait du plaisir à reluquer et à tripoter le corps à moitié nue d'une occidentale blonde de 27 ans, à la jeune poitrine ronde et ferme, à la peau douce et laiteuse et aux jambes longues et effilées.
    
    Puis, le médecin s'approcha et me dit: "Là... toi.. assoir.. ", en me montrant un tabouret. "Je donne femme antibiotiques... Stop infection..."
    
    Il se dirigea vers les étagères, scrutant attentivement ses bouteilles. Il en choisit une, l'ouvrit et en fit sortir 4 comprimés. Il versa de l'eau dans une verre et tendit les pilules à Sarah. Elle les prit et les avala.
    
    "Je reviens... quelques minutes.", dit-il en sortant de la salle d'examen.
    
    Dix minutes passèrent. Sarah semblait très détendue, un peu trop même compte tenu des circonstances. Sa respiration était devenue lente et profonde.
    
    La prenant par la main, je lui dis: "Tout va bien aller, chérie... Détends-toi. Je reste près de toi."
    
    Me serrant la main, elle me répondit: "Merci, mon amour...", et s'assoupit.
    
    Pendant l'absence du médecin, j'en profitai pour étudier la configuration de la pièce où nous étions. À la tête de la table d'examen, un anneau en fer rouillé était ancré au mur. Plusieurs miroirs de différentes formes et dimensions couvraient les quatre murs.
    
    La lumière naturelle provenait d'une grande fenêtre ...
    ... s'ouvrant sur le jardin privé de la résidence du médecin. Un store relevé, aux lamelles de bois horizontales abimées et tordues, couvrait le haut de la fenêtre.
    
    Au-dessus de la table d'examen, un puissant éclairage au néon illuminait la pièce.
    
    Le vieux docteur revint au bout d'une quinzaine de minutes. Il plaça sa main sur l'épaule de Sarah et la secoua doucement.
    
    Elle gémit, ouvrit en partie les yeux et dit quelque chose d'inintelligible. Le médecin se tourna vers moi et me dit: "Peut-être... commotion cérébrale... besoin détente... Je fais injection... Dormira deux heures."
    
    Je savais que Sarah n'avait pas subi de commotion cérébrale. Ma formation de pharmacien m'indiquait qu'il avait plutôt dû lui donner des somnifères, pas des antibiotiques.
    
    Je sentais qu'il se tramait ici quelque chose de vraiment louche.
    
    Le vieil homme, après avoir rempli une seringue d'un liquide transparent, s'approcha de Sarah pour lui inoculer cette substance.
    
    Réalisant que ce vicelard qui reluquait ma femme depuis notre arrivée voulait la droguer, certains de mes fantasmes secrets, tabous et interdits refirent surface.
    
    Depuis longtemps, j'avais ces pensées perverses où j'imaginais offrir Sarah à d'autres hommes qui l'auraient baisée devant moi.
    
    Malheureusement, ce n'était pas le truc de ma femme! D'un look bon-chic, bon-genre, Sarah était prof dans un lycée privé, présidente de son syndicat et même, plutôt féministe sur les bords.
    
    Plusieurs fois, j'avais voulu l'amener dans ...
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