1. Violée en Turquie: Première Partie


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byinnbay, Source: Literotica

    ... gauche, elle, était sous le bureau... à l'image d'un homme qui se caresse tout en regardant de la pornographie???!!!!
    
    Le mécanicien lui lança "Bonjour" en turc... Le vieil homme eut l'air assez surpris de nous voir arriver, comme s'il avait été interrompu dans ses rêveries... ou ses fantasmes!
    
    Il se leva rapidement et je crus entrevoir une légère bosse déformer le devant de son pantalon de toile usé.
    
    Le mécanicien en salopette lui expliqua en turc les circonstances de l'accident et ajouta: "Comme d'habitude, fais-moi signe lorsque ce sera le temps."
    
    "Le temps de quoi?", me demandai-je, perplexe.
    
    À ce stade-ci, je décidai de ne pas laisser paraître que je parlais couramment le Turc. Je voulais savoir ce que ces deux-là complotaient.
    
    Je m'avançai vers le mécanicien et lui serrai la main, le remerciant pour son aide tout en lui disant que j'irais récupérer mon scooter lorsque Sarah aurait obtenu son congé.
    
    Je crus percevoir une sorte de rictus se dessiner sur son visage lorsqu'il me répondit: "Pas pressé...pas pressé."
    
    Puis il quitta la pièce tout en saluant le médecin qui hocha la tête comme pour confirmer un accord entre les deux hommes.
    
    Le vieux médecin ajouta même, d'un air complice: "N'oublie pas de prendre les vitamines que je t'ai prescrites!"
    
    Mais que manigançaient-ils?
    
    Le vieux médecin regarda Sarah, puis se tournant vers moi, il me dit, dans un français tout aussi rudimentaire que celui du mécanicien: "J'examine... elle. Trente ...
    ... euros".
    
    J'hochai la tête pour acquiéser. Sarah s'appuya sur mon épaule tandis que le vieux médecin lui soutenait le bras gauche.
    
    Le vieil homme nous amena dans une salle d'examen située tout à côté de son bureau.
    
    La pièce avait un look vieillot, à l'image du décor vétuste d'un plateau de cinéma de la belle époque.
    
    Des étagères bordaient les murs. Des bouteilles et des boîtes de comprimés s'empilaient sur des tablettes poussiéreuses. Au centre de la pièce se trouvait une très ancienne table d'examen en bois recouverte d'un mince tapis mousse et d'un oreiller.
    
    Sur le mur, une photo d'une jeune femme blonde, très jolie, avec un look rappelant celui de Sarah.
    
    "C'est votre fille?" demandai-je en français. "Non, pas fille... petite-fille... Azra...partie pour Istanboul.... aime pas campagne...".
    
    C'était la première fois que je pouvais observer correctement le vieil homme. Il avait l'air aussi vieux que sa salle d'examen. Il était très maigre avec des cheveux poivre et sel, lissés avec de l'huile. Il avait une moustache fine de couleur noire qu'il teignait sûrement. Son visage émacié lui donnait l'air d'un oiseau de proie.
    
    Ses pantalons de toile étaient passés de mode depuis des années. Mal ajustés, avec des rayures et de grands revers. Il portait une chemise d'un blanc cassé - qui autrefois avait du être d'un blanc pur - et une grande cravate marron.
    
    Sarah portait toujours son casque antichoc. Le docteur détacha la sangle. Il me regarda, pointant du doigt les ...
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