Violée en Turquie: Première Partie
Datte: 19/08/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byinnbay, Source: Literotica
Inspiré d'un texte intitulé "Turkish delight" par lenneedssex
Originaires du Québec, mon épouse Sarah et moi venions d'arriver en Turquie pour y passer trois semaines de vacances.
Je connaissais bien ce pays car, plus jeune, j'y avais étudié la pharmacologie pendant 2 ans. J'en avais même profité pour y apprendre le Turc.
De retour à Montréal, j'avais rencontré Sarah, une grande, mince et jolie blonde agée maintenant de 27 ans que j'avais épousée il y a quelques mois.
Sarah avait accepté avec enthousiasme ma proposition de lui faire découvrir la Turquie.
Après avoir exploré Istanboul, nous étions arrivés à la station balnéaire de Bodrum où j'avais loué un scooter dans le but de découvrir, à notre rythme, la ville et ses environs.
Nous étions partis, ce matin-là, vers la ville de Turgutreis où nous avions planifié visiter leur réputé marché local.
Toutefois, j'avoue que je commençais à regretter ma décision. Les routes étaient sinueuses et très fréquentées. Nous devions nous faufiler entre les bus, les voitures, les camions et des dizaines de scooters qui ne cessaient de nous couper la route.
Coincé à travers toute cette cohue de véhicules, je ne pus, malheureusement, éviter un profond nid de poule qui s'ouvrait devant moi.
Nous fûmes tous deux éjectés du scooter, nous retrouvant sur le bitume.
Indemne, je me relevai rapidement. Sarah, par contre, était toujours étendue sur la route, grimaçant de douleur tout en tenant sa jambe gauche juste en ...
... dessous de son genou.
Je vins rapidement m'agenouiller près d'elle.
Plusieurs hommes s'approchèrent de nous pour arrêter la circulation et nous aider.
Bien qu'elle fut secouée et choquée, l'éraflure sur sa jambe ne semblait pas trop profonde. Toutefois, je remarquai que le casque, qu'elle avait heureusement insisté pour porter, était écorché.
Un petit homme trapu vêtu d'une salopette sale et huileuse se dirigea vers nous et demanda à deux autres hommes présents de transporter notre scooter amoché jusqu'à son atelier de réparation mécanique situé, par chance, juste en face du lieu de notre accident.
Puis, se tournant vers moi, il pointa du doigt la façade d'un immeuble un peu plus loin sur la route en disant dans un français hésitant "Médecin, là... Médecin".
Il m'aida à soulever et à porter Sarah jusqu'à la résidence du docteur. Je pouvais sentir tout le dédain qu'éprouvait Sarah à être touchée par ce gros mécanicien, laid et sale.
Après avoir traversé un petit jardin privé, le mécanicien, sans même frapper, ouvrit la porte de la résidence du médecin. Visiblement, ces deux hommes se connaissaient bien.
Un couloir sombre nous amena jusqu'au bureau du praticien.
Un homme d'environ 70 ans était assis sur une chaise en bois derrière un vieux bureau. Manifestement, il ne nous avait pas entendu entrer chez lui.
Il avait la bouche ouverte et regardait fixement un ordinateur portable posé sur son bureau. Sa main droite était appuyée sur la souris. Sa main ...