1. Premiers détours


    Datte: 17/08/2025, Catégories: f, fh, ff, extracon, vacances, amour, cérébral, Masturbation caresses, intermast, pénétratio, portrait, occasion, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    ... temps. Pourtant, l’engin en vaut la chandelle ! Elle est belle sa bite, pas trop longue, mais large et noueuse, chaude et douce, humide quand on s’y prend bien.
    
    Bref, j’ai fait jouir mon homme alors que les autres dorment(enfin, j’espère) juste à côté. Mais forcément, on en a mis partout. J’ai du sperme plein les doigts, et le ventre de Julien est une vraie mare, qui va couler sur le duvet… la cata quoi. Je redescends sur terre – Julien, lui, plane dans son petit nuage, je le comprends. Je vais aller chercher de quoi essuyer tout ça.
    
    Forcément, je me plante de porte. Au lieu des toilettes, je me retrouve dans la salle à manger. Je n’ai vraiment pas le sens de l’orientation. Après quelques instants d’errance, je finis par retrouver le bon chemin. Mais au moment où j’entre dans le couloir, la porte d’à côté s’ouvre, elle aussi, et Antoine en sort. Je me sens toute bête avec mes mains pleines de foutre. Dans l’obscurité, j’ai une chance qu’il ne s’en aperçoive pas…
    
    Par contre, impossible de ne pas voir qu’il bande. Il ne porte qu’un boxer déformé par une grosse bosse. Nous restons un moment face à face, sans savoir quoi faire ni quoi dire. Quelle situation incongrue ! Je ne saurais même pas dire ce que je ressens. Je réalise que s’il bande, c’est qu’il a dû nous surprendre. D’ailleurs, en se levant, il n’a pu manquer le résultat de mes caresses sur le ventre de Julien. Oh la la, ça craint ...
    ... carrément. Je sens une boule de honte gonfler dans mon ventre.
    
    C’est Antoine qui agit le premier. Il me sourit et me fait un signe de tête en direction de la salle de bain. La petite lumière illumine la pièce – ce que la pénombre masquait encore nous apparaît avec évidence. Il baisse alors son boxer et commence à se branler.
    
    — Excuse-moi, mais vous m’avez trop excité tous les deux. Je ne peux plus tenir.
    
    Je trouve ça trop mignon qu’il s’excuse. Je le regarde faire quelques instants, trop surprise pour savoir comment réagir. Puis je fais une chose que je n’aurais jamais crue possible une minute auparavant : je m’approche et pose la main sur la sienne. Il la retire. Le contact de son sexe est chaud. Comme celui de Julien. Ma main est encore pleine de sperme – elle glisse le long de cette colonne de chair inconnue, un peu plus longue que celle de Julien, je crois, avec un prépuce plus allongé aussi, qui masque complètement le gland, sauf quand on le tire à fond en arrière.
    
    Cela ne dure pas très longtemps, il devait être très excité. Il jouit sans un bruit, quelques jets de sperme épais qui viennent tapisser le fond du lavabo, et un peu mes mains. Une deuxième couche.
    
    Je me lave les mains et prends quelques feuilles de papier. Malgré l’intense confusion qui règne dans mon esprit, je réussis à penser aux choses matérielles et au ventre dégoulinant de mon mari. Et je m’enfuis de la salle de bain. 
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