1. Premiers détours


    Datte: 17/08/2025, Catégories: f, fh, ff, extracon, vacances, amour, cérébral, Masturbation caresses, intermast, pénétratio, portrait, occasion, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    ... devrait peut-être essayer les filles…
    
    Antoine
    
    Repas frugal, ce soir : ambiance refuge. Laura dodeline de la tête contre mon épaule – elle supporte mal le vin rouge, surtout après une longue journée de marche. La fraîcheur du soir est tombée sur la montagne cévenole, et nous regagnons le dortoir.
    
    Il y fait chaud – les duvets sont de trop. Avec Laura, nous avons deux duvets jumelables, l’idéal pour se tenir chaud et échanger quelques caresses. Ce soir, il faudra être sages, nous ne sommes pas seuls. Je me demande d’ailleurs si hier soir on nous a entendus. J’ai joui tellement fort, serré dans la chatte trempée de Laura qui m’aspirait littéralement, que j’ai dû crier plus fort que je ne l’aurais voulu. Elle aussi, d’ailleurs, a hurlé son plaisir sous mes coups de boutoir, mon ventre qui cogne ses fesses, mes couilles qui lui massent le clito. Quelle levrette inoubliable, quelle amante j’ai !
    
    Mais ce soir, pas d’amante, juste une femme endormie qui se met à ronfler doucement aussitôt qu’elle a fermé les yeux. Je lui masse doucement le ventre pour qu’elle arrête. J’en profite pour lui caresser les seins. C’est si doux, cette peau, et en dessous, cette chair moelleuse, et au bout, ces petites pointes fermes…
    
    Dans le dortoir, les autres cherchent le sommeil. On bouge un peu autour de moi – Manon à côté de Laura, Julien juste à ma gauche. Je l’entends pousser des petits grognements. Il remue un peu, semble lutter avec son duvet, il a sans doute trop chaud. Moi aussi ...
    ... d’ailleurs, je me tourne sur le dos pour respirer, ma main droite toujours sur la cuisse de Laura.
    
    Le dortoir est plongé dans la pénombre, seulement éclairé par la lumière verte de l’issue de secours. En s’habituant, on y voit tout de même pas mal. Je n’arrive vraiment pas à dormir, j’ai les yeux grands ouverts. La courbe des hanches et des épaules de Laura me masque la vue sur la droite. Sur ma gauche…
    
    Je rêve ?! Malgré l’obscurité, je ne peux me tromper sur ce que je vois. Émergeant du duvet roulé en boule sur ses jambes, le sexe de Julien se dresse… serré dans des doigts fins qui vont et viennent sur sa hampe. À chaque mouvement, j’aperçois le gland gonflé où une goutte luit à la lumière blafarde de l’issue de secours, puis disparaît lorsque la main s’en rapproche. Puis, au bout de quelques minutes, une deuxième main vient s’ajouter à la première qui disparaît vers les bourses… Que fait-elle ? Je n’en sais rien exactement.
    
    Julien se cambre légèrement dans un bruissement du sac de couchage. Sa tête est tournée de l’autre côté, vers Cécile qui le masturbe avec des mouvements amples et réguliers. Je m’aperçois que je bande à mon tour, comme si on me caressait moi aussi. Je m’identifie à cette bite, là, à moins d’un mètre de moi, je me surprends à me cambrer comme mon voisin, comme pour supplier une caresse plus forte, plus profonde. Si on m’avait dit que je banderais un jour en voyant la queue d’un autre !
    
    Elle sait y faire en tout cas. C’est le bon rythme, je le ...