Premiers détours
Datte: 17/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
ff,
extracon,
vacances,
amour,
cérébral,
Masturbation
caresses,
intermast,
pénétratio,
portrait,
occasion,
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... accueillir toutes les deux. Je ferme les yeux et sens la douceur m’envahir.
— Tu es très belle, tu sais. J’aimerais bien te ressembler quand j’aurais quarante ans.
Je me retourne et ouvre les yeux, stupéfaite. C’est Mathilde qui m’a parlé. Ça me semble être le monde à l’envers de me faire complimenter par une fille aussi magnifique. Mes petits seins font pâle figure devant ses beaux globes que son bikini peine à dissimuler. C’est d’ailleurs ce que je lui réponds.
— Bof, tu sais, c’est pas si bien d’avoir des gros seins. Ça ballotte quand on court, ça oblige à porter un soutien-gorge tout le temps. Toi au moins tu n’en as pas besoin.
Je ne sais quoi répondre, je suis sûre que je rougis même un peu. À vrai dire, je porte toujours un soutien-gorge ou une brassière. Je n’ai jamais essayé de ne rien porter. Cette pensée m’émoustille inexplicablement.
Julien
La baignade nous a tous détendus. La fin de la journée de marche se déroule dans la bonne humeur, bien qu’il faille encore monter, et donc transpirer, en perdant tout le bénéfice de notre bain. Nous discutons par petits groupes, chacun passant de l’un à l’autre au gré des petites haltes pour boire, admirer un point de vue ou une plante rare.
Je marche à côté de Cécile – nous aussi nous pouvons discuter entre nous, finalement. Je réalise soudain qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses tétons pointent parfaitement à travers son débardeur. En une seconde, mon cerveau vient divaguer contre le fin morceau ...
... de tissu et imagine ces deux dômes de chair si douce qu’on dirait calibrés juste pour la taille de mes mains. Je sais combien ces tétons sont sensibles lorsqu’on les taquine, les pince, les mordille… L’ambiance de liberté qui se dégage de notre randonnée semble avoir aussi gagné ma femme.
Manon
Pas d’hôtel ce soir – juste un gîte d’étape, avec un grand dortoir, où nous serons seuls. Et donc pas de galipettes pour Laura et Antoine. Dommage, me dis-je malgré moi, un peu honteuse du plaisir que j’ai pris à les écouter. Enfin, pas que à les écouter. Depuis ce matin, Mathilde m’évite. Dommage. Elle était craquante à se triturer le bouton sur le lit, hier soir. La regarder m’a fait jouir encore plus – c’est vrai, en y repensant, j’ai pris un pied fabuleux.
Nous installons nos sacs de couchage dans le dortoir. Je me cale entre Mathilde et Laura. Je jette un coup d’œil à Thomas qui a l’air tout déconfit. Depuis le début, j’ai bien vu qu’il me reluquait, et je le soupçonne d’avoir préféré dormir à côté de moi. Tant pis pour lui, il devra se contenter de Mathilde ! Ce n’est pas gentil, ce que je dis là. Après tout, si ça pouvait arriver, je serais contente pour elle, même si je ne dédaignerais pas de le tester, ce beau Thomas. Il est tout à fait à mon goût.
Pauvre Mathilde, je sais combien elle a du mal avec les garçons, ou plutôt comme elle n’a pas eu de chance avec ceux qu’elle a trouvés. C’est d’ailleurs inexplicable pour moi, une fille si jolie, si bien foutue. Elle ...