1. Premiers détours


    Datte: 17/08/2025, Catégories: f, fh, ff, extracon, vacances, amour, cérébral, Masturbation caresses, intermast, pénétratio, portrait, occasion, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    ... sens, j’aimerais exactement le même : régulier, avec des mouvements doux, mais puissants. Mince, si ça continue je vais jouir sans qu’on ne me fasse rien. Ah, enfin il gicle. Un long jet translucide traversé par un rai de lueur. Puis un autre, qui s’abîme sans bruit sur son ventre ou son t-shirt, je ne vois pas bien. Moi, il me manque la touche finale. Je bande comme un âne, mais sans personne pour m’aider. Si Laura ne dormait pas si profondément. Je n’ai plus qu’à le faire moi-même. Mais pas ici.
    
    Thomas
    
    Il fait trop chaud dans le dortoir. J’avoue, je l’ai un peu fait exprès. Je sais qu’il faut toujours ouvrir la fenêtre. Je me disais qu’ainsi je verrais des choses intéressantes chez mes voisines. Quelque part, je ne me suis pas trompé. À côté de moi, Mathilde porte un simple débardeur – rien en bas, enfin, j’imagine une culotte, je n’ai pas vérifié. Elle n’arrête pas de bouger, n’arrivant sans doute pas à trouver la bonne position pour dormir. Elle n’est pas la seule. J’entends aussi bouger plus loin dans le dortoir.
    
    Quelqu’un se lève tout au bout. Julien ? Non, Cécile plutôt, vu la taille. La porte du dortoir s’ouvre. Une minute plus tard, quelqu’un d’autre. Sans doute Julien. Je les imagine aller s’offrir un moment d’intimité quelque part dans le refuge. L’idée fugace d’aller jeter un coup d’œil, de me transformer en voyeur, me traverse, vite abandonnée – finalement, j’ai sommeil, et puis j’ai trop d’imagination, il ne va rien se passer de tel, bien sûr.
    
    Je me ...
    ... retourne sur le côté, face à la nuque de Mathilde, qui apparaît entre deux vagues de cheveux blonds, qui se séparent encore sur son épaule droite. Mon regard parcourt la courbure de son flanc, de sa taille, sa hanche, de ses fesses – le débardeur est un peu remonté, je distingue clairement une petite culotte de coton toute simple, j’aurais fantasmé quelque chose de plus sexy, mais c’est très joli comme ça. Elle bouge encore – décidément, pas facile de s’endormir – comme si elle rampait, se déplace un peu vers la gauche.
    
    Et soudain, je vois une main sur sa taille. Une main qui ne peut anatomiquement pas être la sienne. Une main qui remonte sous son t-shirt – que je devine suivre la courbe de son omoplate – réapparaît sous la bretelle du débardeur, l’attrape par l’épaule, puis redescend au creux du dos. Son manège dure quelques minutes – je ne sais combien, je suis tellement absorbé par ce que je vois que je perds la notion du temps. Puis tout mouvement cesse. Mais la main est toujours là.
    
    Cécile
    
    Je crois que Julien a été surpris par mon audace. Et je suis assez fière de moi. Dans ce dortoir surchauffé, nous avons repoussé le duvet sur nos jambes, échangé quelques caresses chastes. Et puis je ne sais pas ce qui m’a traversé l’esprit, mais je suis descendue en bas de son ventre. Il a bandé instantanément. J’aime le sentir excité comme ça. Je me sens maîtresse de la situation, c’est moi qui le mène où je veux. C’est vrai que je l’ai peut-être un peu négligé ces derniers ...