1. Éloïse


    Datte: 15/08/2025, Catégories: fh, hplusag, profélève, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... réveil. On grignote tranquillou devant la télé, comme un vieux couple. Ensuite, elle veut aller soigner son canasson, se changer, revoir trois bricoles pour le lendemain puisque, elle me l’a promis, elle sera au CFA. Je me fais une sieste longue jusqu’à dix-neuf heures en pensant aux délices de ce week-end, à cette petite folle de sexe et de plaisir, à celui qu’elle m’a donné avec ses trous tout neufs et encore bien serrés. J’en bande encore. En cassant une nouvelle fois la croûte, je réfléchis à tout ça.
    
    Quelque chose me dit que, dès qu’elle va se retrouver seule, la petite Éloïse est fichue de péter de nouveau un fusible. J’ai fait ce que j’ai pu, au-delà même de ce que je devais faire. Imagine si je devais en faire autant avec mes trois cent cinquante apprentis dont la moitié de filles, ou pas loin. Ce qu’il faut, c’est consolider. Informer ses parents, je me dis que ce n’est sûrement pas une bonne chose. Je connais Francine, ça va être « oh ma p’tite chérie, viens-là mon ange que je te console » et ça ne va pas l’aider. Reste son maître d’apprentissage. Je consulte mon ordi. C’est la fille d’un gros céréalier, un ponte à la Chambre d’Agriculture. Un pas facile et plein aux as. Le plus gros salarié de l’Europe du secteur, via les aides. Si la fille est du même calibre… Éleveuse de chevaux, responsable d’un manège réputé et plutôt sélect. On verra bien, je l’appelle demain à la première heure. En attendant, se refaire une santé au lit.
    
    Accueil plutôt chaleureux de ...
    ... la dame au téléphone, mais je n’ai pas envie de lui déballer tout ça sans la voir, elle accepte ma visite sans problème dans une heure. Je prends le dossier de la petite et j’y vais. Papa a fait les choses en grand pour sa fifille, une propriété qu’il a dû racheter, de vastes prairies, un cours d’eau, une grande longère adossée à un bois qui semble faire partie de la propriété, une série de stalles en fond de cour et une immense rotonde en face de la maison. Les bâtiments sont rénovés au petit poil, avec beaucoup de goût et sûrement de pognon. La cour est couverte de gravillons blancs, avec de grandes vasques de fleurs, les murs sont rénovés à la chaux, très clairs, je tique juste un peu sur les menuiseries toutes peintochées « sang de bœuf ». Chacun ses goûts. La rotonde est toute neuve, immense structure en bois d’environ vingt mètres de diamètre. C’est en fait un octogone avec huit nervures en lamellé-collé, sans support central, huit grands sky-dômes éclairent par le toit. C’est superbe et efficace, permettant d’entraîner chevaux et cavaliers par tous les temps.
    
    En plus, cette architecture hyper moderne ne choque pas dans le paysage, à cause du bois, sûrement. Quand elle entend ma voiture crisser sur les gravillons, la patronne rapplique en sortant des box. Punaise ! Beau brin de femme ! À la fois très féminine et athlétique, une belle plante. Grande, mais en partie grâce à ses bottes aux talons de dix centimètres absolument pas cavalières, jeans moulant, petit pull ...
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