1. Blanche Lenoir


    Datte: 01/08/2019, Catégories: fh, hplusag, pénétratio, consoler, Auteur: Gaspard, Source: Revebebe

    ... naturelle se posant légèrement sur le torse, des hanches à faire damner un saint, un corps mince teinte caramel, tonique, musclé, un visage à peine marqué par le temps et des yeux qui me font fondre de tendresse. Sa nudité tranquille me ravit, elle croit utile de s’en justifier :
    
    — Si tu voulais pas voir ta femme de ménage toute nue, fallait pas faire un jardin aussi tranquille !
    
    Puis vers 17 h :
    
    — Bon, j’ai fini ma journée, je rentre et ce soir, je t’invite chez toi, je suis là dans une heure !
    
    Une heure, à peine le temps de la coquetterie, je trouve un pantalon clair, une Lacoste bleu marine, un coup de peigne, la voilà qui sonne puis entre, chargée de casseroles, vêtue à la créole, ses cheveux serrés dans un fichu de madras, elle est magnifique !
    
    Vite à la cuisine pour mettre à réchauffer accras et boudin créole, et toujours aussi spontanée, elle s’avance vers moi pour déposer un baiser sur mes lèvres et me murmurer à l’oreille :
    
    — Je suis nue sous ma robe et c’est en dehors de mes horaires de travail.
    
    Mieux qu’une permission, c’est une invite, et cette fois elle laisse mes mains vagabonder sur son corps, ...
    ... explorer ses seins, ses épaules, remonter sa robe et commencer à fouiller entre ses lèvres. Elle m’entraîne vers les matelas de jardin et s’offre sans retenue. Elle me laisse la pénétrer et commence à onduler du bassin tout en contractant les muscles de son vagin autour de ma verge puis, haletante, s’engouffre dans l’orgasme tout en criant en créole, et je la suis bien vite au septième ciel.
    
    Encore sous le choc, j’entends un hurlement :
    
    — Ça brûûûûle ! et je la vois se précipiter vers la cuisine seulement vêtue de son fichu.
    — Ouf, c’est pas trop grave, puis du coq-à-l’âne ; ce que c’était bon, des mois que j’avais pas fait l’amour !
    
    Que vous dire de plus de mon retour à la normale ? Bien sûr, pour éviter la contrainte des heures ouvrables, je lui ai demandé de prendre un congé sabbatique. Elle vit dans la maison qui réapprend doucement à sourire, quand je lui parle de Marie, elle vient près de moi, me câline et m’écoute.
    
    Ah, j’allais oublier, ce vendredi, j’ai rencontré Émilie le Gwenn, elle m’a reconnu, m’a demandé de mes nouvelles, mais n’a pas bien compris pourquoi je la remerciais si chaleureusement. Tant pis pour elle ! 
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