Blanche Lenoir
Datte: 01/08/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
pénétratio,
consoler,
Auteur: Gaspard, Source: Revebebe
... sur la plage.
Elle s’empare d’un panier, y jette pain, beurre, tomates et me lance :
— Je n’ai pas de maillot mais je crois qu’il n’y en a pas besoin, pas loin d’ici.
Me prenant la main, elle m’entraîne vers sa voiture, cinq minutes plus tard, nous voilà à Keranouat ; pas un chat à cette heure ! Avec un naturel désarmant, elle se débarrasse de ses vêtements et court vers la mer, y plonge tête première puis à grands signes m’invite à la rejoindre ; hésitant au début, je me laisse faire, après tout ne m’a-t-elle pas vu nu en me décrassant ce matin. Nous jouons dans l’eau fraîche, comme deux enfants qui s’éclaboussent en riant, ce rire me réchauffe, me revigore : j’ai faim.
En croquant mon sandwich en face de cette femme superbe, assise jambes écartées, ne cachant rien de son pubis glabre ni de ses seins généreux, qui tout naturellement me pèle des fruits, alors qu’elle était seulement censée faire mon ménage, le vertige me reprend, j’ai l’impression d’un retour au jardin d’éden.
Je commence une phrase par un cérémonieux : Madame Thérèse…qui provoque chez elle un rire spontané qui fait tressauter ses seins, puis souriant de toutes ses dents :
— Arrête, Thérèse, ce n’est pas mon vrai nom, je le porte dans mon travail pour éviter que l’on se moque, mon vrai nom c’est Blanche Lenoir et, avec ma couleur de peau, ça peut faire rire, je suis la fille d’une guadeloupéenne et d’un marin breton qui m’a nommée ainsi tant il avait bu de ti-punch pour fêter ma naissance. ...
... Toi, tu peux m’appeler Blanche, mais pas Blanchette ni Blanche-Neige, sinon je mords.
Puis elle se raconte un peu, son enfance dans les îles, le retour en métropole et la maigre pension militaire de son père, mais aussi la découverte émerveillée de la Bretagne ; ce sale type en qui elle avait cru et qui l’a fait trimer dans sa crêperie pendant deux ans et couchait avec toutes les serveuses ; puis les ménages chez les riches qui lui permettaient de vivre décemment, ses 42 ans, sa solitude qu’elle trouvait injuste tant elle avait de choses à donner.
C’était bon de l’entendre, c’était beau de la voir nue au naturel sans fausse pudeur ni exhibitionnisme, je n’avais plus envie de m’apitoyer sur moi-même. Je la trouve si belle qu’une érection subite vient me surprendre. Elle s’en rend compte et s’exclame :
— Dis-donc, la pause est terminée, je suis ici pour bosser, moi. Il est temps de rentrer à la maison.
Mais la douceur de ses yeux dément cette réprimande.
J’ai envie de Blanche, de ses seins fermes et opulents, de ses fesses cambrées, de ses jambes longues, de sa peau dorée mais je me tais, nous rentrons.
De retour au bercail, elle attaque en chantant le nettoyage de la terrasse sud, il est 14 h 30 et le soleil donne à plein, elle ôte son paréo en continue sa tâche en tenue d’Ève. Je tente de nouveau ma chance mais un :
— Oh ! je travaille ! me renvoie à la niche et je me contente du spectacle.
Comment vous la décrire ? 1 m 70, sûrement une poitrine de 90, ...