1. La rupture


    Datte: 12/08/2025, Catégories: fh, Collègues / Travail rupture, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... bûcheron, ses mains agrippées à mes hanches. J’étais tellement excitée que j’ai joui presque aussitôt, dans un râle étouffé au vu de l’endroit. Bertrand a ralenti, mais mon désir n’était pas encore éteint.
    
    — Ne t’arrête pas, continue, j’en veux encore, je veux sentir ton foutre gicler au fond de moi, vas-y, baise-moi, baise-moi !
    
    Bertrand m’a assaillie de formidables coups de reins, la table tremblait sous ses assauts, et j’ai senti grandir dans mon bas-ventre une énorme vague, qui a déferlé dans tout mon corps au moment où l’organe mâle qui écartelait mes chairs a expulsé sa liqueur au plus profond de moi. Au vu du lieu à risque, la décrue de mon plaisir s’est faite rapidement, aussi rapidement que mon excitation soudaine eût grandi. Très digne, sous les yeux ébahis de mon collègue et amant, j’ai repris ma culotte, l’ai remise, lui en montrant le devant où se développait à vue d’œil une large tache.
    
    — Je veux te garder en moi, mon chéri, sentir encore longtemps ton plaisir et le mien mélangés dans mon intimité la plus secrète. On y va ?
    
    Le trajet en métro jusqu’à la gare a été une épreuve, ni Bertrand ni moi n’avions envie de nous quitter. Nous avons même évoqué la possibilité de passer encore une journée ensemble dans la capitale, mais mon merveilleux amant avait invité ses enfants chez lui et moi, je voulais au plus vite régler ma situation conjugale, encore galvanisée par mon idylle avec Bertrand. Insensible au fracas du métro et à ses secousses, j’étais ...
    ... appuyée contre mon gentleman, en proie à une sorte de langueur, sentant s’écouler entre mes cuisses devenues collantes le miel de nos amours que la fine culotte ne parvenait plus à absorber. J’ai collé ma bouche à l’oreille de mon protecteur et lui ai murmuré :
    
    — Je suis toute poisseuse de toi, grand sauvage, ton plaisir et le mien débordent de ma culotte. Heureusement que je ne suis pas en pantalon !
    — Tais-toi, cochonne, où je te viole ici, debout, devant tout le monde ! Raconte-moi des choses tristes, plutôt que de m’exciter follement…
    
    Je passe sur les larmes de quai de gare, c’est trop difficile à raconter. Par contre, ne pouvant pas se résoudre à me laisser seule avec mon mari tout le week-end, Bertrand m’a invitée à passer la soirée du vendredi chez lui, ses enfants ne venant que le lendemain. J’étais folle de joie, cela me laissait environ deux heures pour annoncer à Roland les projets que j’avais pour lui, mais dont je n’avais pas parlé à Bertrand.
    
    Mon voyage de retour a été l’occasion de réfléchir à la manière d’aborder mon mari, sans élever la voix ni, surtout, pleurer. Je voulais le dominer, l’écraser, j’étais redevenue femme de plein droit, libre de toute morale ou contrainte, comme le montrait l’auréole odorante qui maintenant tachait ma robe au niveau des fesses et que je ne cherchais pas à dissimuler, la considérant comme partie intégrante de ma féminité retrouvée.
    
    En début d’après-midi, j’étais à la maison, Roland arrivait en général un peu plus tôt en ...
«1234...13»