La rupture
Datte: 12/08/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
rupture,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... effaçant ainsi toute sa tendresse et sa douceur, gardant mutuellement le souvenir d’un bon coup. Je lui ai sauté au cou et l’ai embrassé comme une furie. Il m’a enlacée fougueusement et m’a rendu mon baiser torride, l’air ravi.
— Je vais chercher mes affaires. On se rejoint en bas, Madame l’actuaire en chef ?
L’apéritif dînatoire s’est agréablement déroulé, j’avais repris ma contenance et suis redevenue pour mes collègues la bourgeoise coincée, souriant poliment, mais sans exagération, demeurant la plus professionnelle possible.
Observant les allées et venues du personnel de service, j’avais remarqué que les serveurs arrivaient et repartaient en traversant la pièce adjacente, plongée dans la pénombre, sans doute un autre salon, mais apparemment inoccupé.
Nous avons salué nos collègues, le grand patron, et tout le monde est gentiment parti, ne restaient que Bertrand, nos deux valises et moi, le personnel avait à servir un repas ailleurs, nous avait-on dit, il nous suffisait de fermer la porte en quittant le salon.
— Je dois vite aller aux toilettes, tu m’attends ici ?
— Bien sûr, je ne bouge pas sans toi, ma jolie.
De retour des toilettes, je me suis blottie encore une fois contre mon galant collègue, je voulais sentir la chaleur et la force de son corps, capter son énergie. Me détachant de lui, je lui ai pris la main et l’ai entraîné vers la pièce à côté, celle plongée dans l’obscurité.
— Mais tu nous emmènes où, Christiane ? Tu peux m’expliquer ...
... ?
La salle était sombre, mais au fond, on distinguait bien une sorte de vestiaire fait d’une paroi qui le séparait du reste de la pièce, alors c’est là que j’ai attiré mon amant, à l’abri du regard de quelqu’un qui entrerait de manière intempestive. J’ai cherché sa bouche et l’ai presque dévorée, lui mordillant les lèvres, suçant goulûment sa langue, et en proie à une formidable pulsion sexuelle j’ai plaqué ma main sur son entrejambe.
— Oh Christiane, mais tu es insatiable ! Tu crois que c’est raisonnable ?
— Non, pas du tout, et c’est pour cela que j’en ai envie. Je veux que tu me prennes, Bertrand, vite, là, je ne veux pas que tu me fasses l’amour, je veux que tu me baises, fort, comme la salope que baise mon mari. Regarde ce que tu as fait de moi !
Là, je lui ai tendu ma culotte de soie rouge, que je venais d’enlever aux toilettes, et sur laquelle on voyait bien les coulures blanchâtres encore fraîches. Mon galant l’a délicatement élevée à la hauteur de son visage, en a humé le parfum et a passé sa langue sur la zone imprégnée de mes sucs, me regardant intensément.
J’ai relevé ma jupe sur le bas de mon dos, découvrant mes fesses nues, puis me suis appuyée au rebord d’une table et ai cambré mes reins au maximum pour faire saillir ma croupe charnue et ma vulve suintante.
— Baise-moi ! Viens en moi !
Mon amant, estomaqué, mais docile, m’a littéralement clouée au meuble, s’introduisant en moi sans ménagement, et a commencé à me pilonner sauvagement, comme un ...