Lilia
Datte: 08/08/2025,
Catégories:
fh,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... le petit short que je descendis sur ses chevilles ainsi que le minuscule string, embrassai son ventre de nacre, le haut de ses cuisses à la peau si soyeuse, je baisai la fine toison blonde du joli mont de Vénus, respirant l’odeur ensorcelante de ma Lilia qui avait posé ses mains sur mes épaules, sans un mot… je la sentais troublée… je restai accroupi à ses pieds, délaçai un à un ses pataugas, l’embrassant toujours tendrement, je lui retirai ses chaussures de toile et les courtes chaussettes… lui fis lever un pied que j’embrassai, lui faisant enjamber son short, puis l’autre… Ma Lilia était nue et caressait mes cheveux, ma nuque, mes épaules…
Plus tard, ma mie se baigna à la claire fontaine… Il n’y avait pas de rossignol sur la plus haute branche, mais je n’avais jamais rien vu d’aussi joli.
Dans la plus profonde des vasques que formait le torrent, entourée des rochers usés et polis par les eaux dans cet écrin de mousses et de verdure, pouvoir contempler la fragilité du merveilleux corps flexible et plein de vie de ma jolie naïade fut pour moi une émotion esthétique et érotique sans égale. C’est là que je pris sûrement les plus belles de toutes mes photos.
J’allai l’y rejoindre… pas longtemps. Un, je dépareillais… Deux, j’avais oublié combien l’eau était froide… Comment faisait ma jolie chérie pour y rester si longtemps… ? Là aussi, elle m’épatait !
Quand elle en sortit, elle tremblait bien un peu, mais vite, je la séchai, la frictionnant, lui répétant combien elle ...
... était belle, elle riait, heureuse. Je sortis les pulls de mon sac et la couvris du sien et du mien. Je la réchauffais, assise tout contre moi, la serrant dans mes bras :
— Tu as faim, ma belle ?
— Oh oui, alors… !
J’attrapai mon couteau, sortis le fromage, le pain qui restait, et débouchai le rioja… ce fut un goûter d’anthologie dans le plus beau coin du monde et du Pays basque.
Le lendemain, il fallait réparer : chose promise… En conséquence, ce fut un retour à la plage et à ses délices.
La Chambre d’Amour s’imposait, vu le programme que j’avais annoncé à ma jolie sirène. Nous nous installâmes à peu près au même endroit, cela nous avait plutôt bien réussi la fois précédente… Il y avait toujours peu de monde, et je taquinai ma Lilia lui demandant si l’absence de public n’allait pas la gêner… Elle me répondit le plus sérieusement du monde qu’elle ne pensait pas et qu’elle se sentait très excitée à l’idée de cette nouvelle expérience, et me regardant avec un sourire en se mordillant la lèvre, elle écarta les jambes et abaissa son regard. Effectivement, je pus me rendre compte à l’état de l’entrejambe de son petit maillot que cela lui faisait un effet certain…
Nous étions allongés sur nos serviettes de bain, main dans la main, et sans y prendre vraiment garde, nous nous étions laissé engourdir de soleil, de chaleur… nous lézardions, à moitié somnolents, une caresse… un baiser…
nous étions sages… trop sages…
Je sentis un mouvement, m’entourant… le temps que ...