1. Le frotteur du métro


    Datte: 31/07/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... de respiration laborieuse. Essayait-il de faire ses valises en étouffant ses pleurs ?
    
    Avais-je brisé son cœur à ce point ? Je me détestais d'être si soumise et si salope.
    
    Je savais que je ne méritais pas un homme aussi parfait, tendre et compréhensif, mais je n'étais rien sans son amour, alors je me suis levée et j'ai couru vers la chambre, prête à me battre pour le garder.
    
    J’étais prête à supplier mon mari pour obtenir une seconde chance. J'étais prête à tout pour lui prouver mon amour, le rassurer en lui jurant qu’il était le seul dans mon cœur. Même si j’avais laissé ce salaud abuser de ma faiblesse, même si j’avais vibré sous ses caresses, il ne comptait pas pour moi. Mon seul, mon unique amour, c’était Jacques, mon mari.
    
    Lorsque j'ai ouvert la porte de la chambre, je suis restée pétrifiée. Au lieu de trouver mon mari remplissant sa valise en pleurant, j’ai trouvé Jacques couché en travers du lit, son sexe à la main, en train de se masturber furieusement
    
    « Mais … Qu'est-ce que tu fais ? »
    
    Jacques me lança un regard inquiet. Un gosse pris la main dans le pot de confiture. Il n’avait pas escompté que je puisse le surprendre comme ça.
    
    « Pardonne-moi, Bérengère » grogna-t-il.
    
    Avant que je ne puisse réagir, Jacques m'a saisie, jetée sur le lit, le visage dans les coussins, le cul en l'air, et il a littéralement arraché mes vêtements. Le chemisier, le pantalon, puis mon soutien-gorge et ma culotte, le rempart de tissu était trop fragile pour lui ...
    ... résister. Agenouillé derrière moi, il a attrapé mes hanches, en me maintenant en place, et il est entré dans ma chatte infidèle d'une seule poussée, en me coupant le souffle. Il m’a baisée avec fureur et sauvagerie. Jamais il ne s’était comportée ainsi avec moi. Le lit tremblait en heurtant la cloison, le sommier grinçait, et je gémissais avec de doux cris féminins. J’étais heureuse, il voulait toujours de moi pour femme. Il n’allait pas me répudier.
    
    Je devais subir des moments de douleur occasionnels, quand sa bite claquait le fond de ma vulve, ou quand sa main maltraitait mon nichon, pressant les chairs, pinçant et tirant mon mamelon. Le plaisir se mélangeait à la souffrance, et je lui criais mon amour et mon abandon. Jacques était comme fou, il m’ignorait, tout à son fantasme, ce qui était aussi bien, puisque son agression me comblait. Il m'a baisée, m'a utilisée comme une prostituée, m'a mordu dans le cou, en marmonné des horreurs sur le fait que j’aimais être molestée par des pervers, et que j'étais une salope soumise à la bite des mâles.
    
    Mon esprit me disait de refuser tout ça, de me révolter, et de mettre un terme à la folie sexuelle de Jacques, mais ma sexualité adorait chacun de ses gestes. Oui, j'aimais être tripotée, utilisée, humiliée. J'aimais quand cet homme me touchait, même s'il n'était pas mon mari. D’ailleurs, qu'il soit un parfait inconnu en était la meilleure motivation. Je me laissais dévergonder complètement, stimulée par le désir impudique de mon mari. Je ...
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