1. Marguerite et le livreur


    Datte: 31/07/2019, Catégories: fh, frousses, soubrette, pénétratio, fsodo, fouetfesse, Humour Auteur: Mia Enon, Source: Revebebe

    ... ainsi par ce rustre, dans la demi-pénombre de cette cave mal éclairée ? Il y a bien sûr eu à l’instant cette contraction délicieuse qui te trouble encore, mais il est grand temps de mettre un terme à cette folie. De nouveau assise sur le tonneau, tu rabats la blouse, la reboutonnes, murmures d’un ton inquiet « Quand même, pourvu que Madame n’ait rien entendu. » et en retombant sur tes pieds lâches « Il vaudrait mieux que j’y aille voir. ».
    
    Dédé te barre résolument la route.
    
    — Dis donc, petite, tu t’es peut-être envoyée en l’air, mais moi j’ai pas fini.
    
    Son sexe toujours aussi agressif se balance ridiculement devant lui. Tu détournes le regard de ce spectacle peu convenable, fais deux pas en avant mais il ne s’écarte pas pour te laisser passer. Quand tu cherches à le contourner, il te saisit par un bras et te tire vers lui en grondant :
    
    — Eh la môme, tu vas pas me laisser dans cet état.
    
    Il essaie de te rejucher sur le tonneau mais tu te débats en répétant « Il faut que j’y aille, je vous dis ! ». Empêtré dans son pantalon, gêné par son sexe battant, il manque s’étaler de toute sa hauteur et doit te lâcher. Tu en profites pour filer vers la porte de la cave mais au moment où tu escalades la volée de marches qui mène au rez-de-chaussée tu te sens ceinturée par derrière et emportée par deux bras puissants pendant qu’une voix gronde :
    
    — Ça, gredine, tu vas me le payer.
    
    Tu as beau tenter de te dégager en grouillant comme un ver, il t’emporte sous son bras comme ...
    ... une gamine désobéissante jusqu’à un coin de la cave où s’entassent une petite table et quelques escabeaux. Là, il te remet sur pied sans te lâcher. Tu peux constater qu’il a pris le temps de remonter son pantalon. Comme tu continues à te débattre, il te jette moitié riant moitié grondeur :
    
    — Si c’est une fessée que tu veux, tu vas l’avoir.
    
    La menace te trouble profondément. On t’avait bien dit que les hommes du peuple battaient leur femme pour s’en faire obéir, mais te faire subir cela à toi, Marguerite Humbert, née des Essarts ! Tu laisses tomber de ta voix la plus mondaine « Vous n’y pensez pas ! » auquel répond un « C’est ce qu’on va voir tout de suite. » Et malgré ta résistance tu te retrouves couchée au travers d’un genou, la tête coincée sous un coude, pendant qu’une main libre te trousse haut. Un sifflement admiratif précède ce commentaire flatteur « T’as vraiment un beau cul ! » suivi d’un menaçant « Mais tant pis pour lui, il va y avoir droit. » L’instant d’après de grandes claques sonores s’abattent sur ta croupe dénudée. Tu as beau pousser les hauts cris, ton fesseur n’en continue que de plus belle. Il n’y a pas que des avantages à prendre la place de Louison, il t’en administre la preuve ! Mais après tout cela ne fait que te ramener quelques années en arrière, au temps de sœur Désirée. Et la sainte fille frappait pour faire mal, alors que le grand gars n’y va guère plus fort que ta chère Olympe ou que tes petites compagnes dans vos jeux de dortoir… Tu es si ...
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