Une femme naturelle
Datte: 28/07/2025,
Catégories:
fh,
fagée,
gros(ses),
forêt,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... repas. Protégée par la végétation et les hautes herbes environnantes, elle se sentait plus à l’aise. Elle consentit à ce que je la déshabille entièrement, dans le but officiel de faire sécher ses vêtements que j’étendis sur un buisson. Mais, quand je la vis nue, offerte au beau milieu des herbes, mon sang ne fit qu’un tour et ma bite, déjà bien dure, se redressa encore. Je m’approchai d’elle et lui présentai ma queue qu’elle emboucha sans plus attendre. Pour ça, elle était toujours prête ! Puis je vins entre ses cuisses épaisses et m’enfonçai dans son antre, qui n’attendait visiblement que ça.
Je pense que la situation l’excitait presque autant que moi et, après s’être bien fait limer, elle ne put retenir ses cris de jouissance qui s’égaillèrent dans la nature et firent s’envoler quelques oiseaux. Et ma jouissance ne fut guère plus discrète.
Après l’amour, le réconfort, et il y avait de quoi faire dans le panier. Assise sur la couverture, poitrine et fesses à l’air, elle ne faisait même plus attention à qui aurait pu la découvrir en tenue d’Ève. Elle était bien, elle était belle, elle me donnait envie, et je ne me suis pas gêné pour la baiser à nouveau après le repas, en espérant secrètement que quelqu’un pourrait nous découvrir ainsi.
7 – Plus loin dans la forêt
La journée de lundi fut pluvieuse, mais le soleil revint le mardi matin. Nous nous décidâmes pour un nouveau pique-nique.
— Cette fois-ci, tu ne mets ni soutien-gorge ni culotte, juste ta jupe et ton ...
... chemisier. Ce sera plus pratique si on veut faire quelque chose.
— Tu n’es vraiment qu’un gros cochon !
— Et moi, je ne mets pas de slip.
— D’accord, mais on va à un autre endroit, où je ne connais personne.
Ainsi fut fait, on se retrouva dans un sous-bois au bord d’un petit chemin et je commençai par la dépoitrailler, par l’embrasser partout, et sa jupe ne mit pas longtemps à être dégrafée et à rejoindre le sol. Me débarrassant à mon tour de mon pantalon, je la fis pencher contre une souche d’arbre et la pris de suite, sans préambule. Il faut dire que nous étions tous les deux fins prêts, elle trempée, comme à son habitude, et moi dur et dressé. Une copulation dans l’urgence qui lui arracha de nombreux cris de jouissance. C’était un coin paumé et nous étions convaincus qu’il n’y aurait personne. Elle s’en donna à cœur joie.
C’est donc en toute décontraction que nous avons ensuite pique-niqué, dans le plus simple appareil. Et nous étions en train de discuter, de musique, cela va de soi, en dévorant du rôti de porc arrosé d’un verre de vin, quand les cyclistes sont arrivés. Ils ne nous ont pas vus au premier abord. Ils ont posé leurs VTT contre un arbre et l’un s’est enfoncé sous la futaie pour pisser. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’autre nous a remarqués. Il en est resté bouche bée. Vous vous rendez compte, deux vieux à poil autour d’un casse-croûte. Quand l’autre est revenu, il lui a fait signe de la tête dans notre direction. Lucette était livide et s’est mise à ...