1. Une femme naturelle


    Datte: 28/07/2025, Catégories: fh, fagée, gros(ses), forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, rencontre, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... et venir lentement entre ses reins, puis elle me donna le feu vert pour accélérer le rythme, et je me mis à la ramoner avec entrain, ahanant derrière elle et profitant de ses grognements en retour. Nous jouîmes presque de concert tandis que je m’épanchais copieusement dans son ventre.
    
    — Ça, c’était une bonne sodomie, conclut-elle en se désengageant, tandis que mon jus s’écoulait lentement le long de ses cuisses. Ça me réconcilie avec cette pratique !
    
    Nous éclatâmes d’un fou rire irrépressible en nous couchant.
    
    — Maintenant que mes trois trous y ont eu droit, je ne vais plus t’intéresser, se lamenta-t-elle.
    — Ne t’inquiète pas, nous pouvons recommencer, encore et encore, et j’ai aussi plein d’autres fantasmes, lui répondis-je de façon laconique.
    
    Elle bredouilla quelque chose d’incompréhensible en sombrant dans le sommeil.
    
    6 – Au bord de l’étang
    
    Le lendemain dimanche, le temps était radieux, le ciel d’un bleu intense que n’obscurcissaient que quelques rares nuages, une première depuis des semaines. Le printemps montrait enfin son museau. Nous décidâmes de préparer un pique-nique et d’aller nous balader en forêt. Mais les chemins, encore boueux, ne nous permirent pas de nous enfoncer trop loin dans le bois, j’avais trop peur de rester embourbé dans les ornières. Nous nous retrouvâmes au bord d’un étang entouré de roseaux.
    
    Elle voulut faire quelques pas autour du plan d’eau. Je l’y rejoignis et, arrivant derrière elle, commençai à lui peloter la ...
    ... poitrine.
    
    — Arrête, que fais-tu ? Quelqu’un pourrait nous voir. J’ai remarqué une voiture, sur le côté, un peu plus loin.
    — C’est ça qui est excitant, que l’on puisse nous apercevoir, tu ne penses pas ?
    
    Malgré ses protestations, elle se retrouva bien vite dépoitraillée, et j’entrepris de lui téter les nichons en les pétrissant sans vergogne. Elle se mordilla la lèvre pour ne pas gémir.
    
    — Arrête, non, je t’en supplie, protesta-t-elle encore, quand mes mains baissèrent fermement sa culotte !
    
    L’instant d’après, mes doigts glissaient dans sa chatte qui était trempée d’envie.
    
    — Tu as l’air d’apprécier, pourtant !
    — Je connais du monde par ici.
    — Ce ne sont que des pêcheurs, je pense.
    — Justement, je connais des pêcheurs, et s’ils me voient ainsi…
    — Ils sauront juste que tu es bien chaude.
    — C’est justement ce que je n’aimerais pas.
    — Arrête de paniquer, pour l’instant, il n’y a personne.
    
    J’accélérai les mouvements dans sa chatte tandis que mon autre main malaxait sa poitrine, avec une telle vigueur que je sentis bientôt la jouissance s’emparer de son corps. Elle dut se mordre au sang pour ne pas gémir. Je sentis son corps vaciller et elle s’écroula soudain sur le sol boueux parmi les roseaux.
    
    — Eh bien, nous voilà bien, se lamenta-t-elle en constatant les dégâts sur ses habits, en particulier sur sa jupe, désormais toute trempée.
    — Viens t’allonger là-bas, avec le soleil qu’il fait, ça va vite sécher.
    
    Nous avions installé une couverture sur le sol pour le ...