1. Une femme naturelle


    Datte: 28/07/2025, Catégories: fh, fagée, gros(ses), forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, rencontre, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... paniquer, elle a regardé vers ses vêtements, décidément trop loin pour qu’elle les attrape, et s’est contentée de poser ses mains sur ses mamelles pour essayer de les camoufler, des yeux implorants tournés vers moi.
    
    — Ça va, les jeunes ? ai-je lancé à leur encontre, pour détendre l’atmosphère. Vous faites une bonne balade ?
    
    Ils avaient l’air, eux aussi, complètement stressés. Pas bien méchants, et même inoffensifs.
    
    — Ma femme et moi sommes naturistes, crus-je utile d’expliquer. J’espère que nous ne vous avons pas choqués.
    
    Ils préférèrent jouer aux jeunes désabusés, qui en avaient vu bien d’autres et qui n’en avaient rien à foutre. Et ils ne tardèrent pas à reprendre leurs montures et à s’éclipser.
    
    Une fois seuls, Lucette me fit presque une scène :
    
    — Tu te rends compte, heureusement que ces deux-là je ne les connaissais pas. Mais il aurait pu s’agir de mes petits-fils ou de mes neveux ou des enfants du voisin.
    
    J’essayai de la convaincre que la probabilité était faible, mais elle ne semblait pas convaincue et insista pour se rhabiller. Et c’en fut fini ce jour-là, cela gâcha un peu la fin de ce long week-end, car l’intermède était terminé et je devais rentrer chez moi.
    
    8 – En guise d’épilogue
    
    Malgré ce contretemps, nos aventures bucoliques ne ...
    ... s’arrêtèrent pas là, bien au contraire. Il ne fallut pas 48 h à la belle, pour faire amende honorable.
    
    Voici ce qu’elle m’écrivit dans son tchat du jeudi matin.
    
    À chaque fois que je retournais chez elle, ce que je parvenais à faire quatre ou cinq fois par an, nous retournions nous balader ou pique-niquer dans la nature. C’était devenu un fantasme commun et je crois que Lulu était encore plus acharnée que moi. Elle était devenue accro à cette prise de risque et, lors de nos échanges par tchat, elle m’en parlait souvent.
    
    Quand je venais la voir, nous allions baiser dans la nature, parfois même par temps de pluie. Et, quand elle était seule, il lui arrivait aussi d’aller se masturber au bord de l’étang. Elle m’avoua même qu’elle avait converti un autre de ses amants à ces amours champêtres, ce qui me rendait d’ailleurs incroyablement jaloux, car l’homme en question habitait beaucoup plus près de chez elle et semblait particulièrement tordu et pervers. Enfin, bon, c’était comme ça, j’étais trop loin pour formuler des exigences, et ne pouvais guère en demander plus.
    
    Nos rencontres durèrent ainsi encore six bonnes années avant que la maladie ne l’emporte, une crise cardiaque qui la faucha dans son sommeil. Son toubib l’avait pourtant prévenue, elle picolait un peu trop, la Lulu ! 
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