Une femme naturelle
Datte: 28/07/2025,
Catégories:
fh,
fagée,
gros(ses),
forêt,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... sagement assise devant sa télé, sur la banquette du grand salon. Elle m’avait prévenu que la porte resterait ouverte. Une fois débarrassé de mes affaires, il ne me fallut pas bien longtemps pour la rejoindre et pour que nous roulions des pelles à n’en plus finir. Les mains baladeuses ne se firent pas attendre, les miennes plongèrent vers sa gorge XXL que je me mis à palper comme un sagouin, les siennes libèrent ma queue avant de la saisir et de la branler avec envie. La fièvre s’était emparée de nous. Quelques instants plus tard, j’avais la main entre ses cuisses et doigtait sa chatte poilue avec fébrilité. Elle avait raison, elle était vraiment trempée et devait en mouiller la banquette. J’aurais bien voulu la renverser et la prendre de suite, tellement nous avions envie, elle comme moi.
Mais elle tint, avant ça, à me sucer la bite. Debout sur le canapé, je présentai ma queue raide à hauteur de sa bouche. Elle l’avala sans plus attendre et entreprit de me pomper avec conviction. Putain, elle faisait ça bien, une vraie pro de la fellation. Quand je sentis mon jus monter, je la prévins :
— Arrête, tu vas me faire jouir !
Mais, au lieu de se calmer, elle redoubla d’intensité en me palpant les couilles avec dextérité. Je crois que je n’ai jamais autant pris mon pied dans une bouche humaine. Elle m’a vidé, complètement vidé et s’est délectée de ma semence qu’elle a avalée. Puis, elle a continué à lécher mon gland un bon moment pour recueillir les dernières ...
... gouttes.
Épuisé par le voyage, ce remède de choc m’avait achevé. Je me souviens vaguement que nous nous sommes dirigés vers sa chambre et que nous nous sommes péniblement déshabillés. Mais, à peine affalé tout contre elle, je suis tombé dans les bras de Morphée, très loin donc de cette longue nuit de baise que je lui avais promise, et que nous évoquions souvent dans nos échanges.
Il devait être bientôt midi quand je me suis réveillé. Elle était toujours entièrement nue à mes côtés et elle me regardait.
— Je suis désolé de m’être endormi hier, crus-je bon de m’excuser.
— J’ai un mec splendide, entièrement nu à mes côtés, et rien que ça suffit à mon bonheur… Tu regardes ma poitrine ; avant elle était ronde, gonflée et attirante, mais depuis quelques années mes seins se sont affaissés. Comme tu vois, mes nichons sont maintenant mollassons et flasques, quel triste spectacle !
— Tu es superbe !
— Menteur !
Mes doigts, qui étaient en train de pincer les bouts de ses mamelons, glissèrent lentement le long de son ventre rond, à la recherche de son pubis velu. Sa chatte était noyée dans la mouille, preuve, s’il en est, de son excitation. Je plongeai bientôt le visage entre ses grosses cuisses. Puis, écartant ses bourrelets, je me mis à dévorer sa vulve. Les lèvres étaient épaisses et charnues et le clito gros et saillant. Je la fis jouir à plusieurs reprises en lui suçant la chatte, son corps était agité de soubresauts, tandis qu’un râle bestial s’échappait de sa bouche. Je la léchai ...