Le livre de Raison d'Odilon Ventalon
Datte: 13/07/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
candaul,
pénétratio,
historique,
aventure,
Auteur: Diable Mouret, Source: Revebebe
... épouse avait été obligée de jouer des mains et même de la bouche pour recueillir assez de semence et se l’introduire à l’aide d’un instrument confectionné spécialement pour cet usage.
Des tentatives ultérieures, pour procréer un fils et assurer la pérennité du lignage, étaient restées infructueuses. Et le maître avançant en âge, les choses devenaient de plus en plus laborieuses.
Odilon se fit rapidement apprécier comme sériciculteur et comme homme dévoué à ses maîtres. Au bout de deux ans, il fut même admis à manger à leur table assez souvent.
La maîtresse se souciait de plus en plus de la façon dont on élevait les vers à soie, elle venait visiter la magnanerie à toute heure pour suivre l’évolution de l’élevage et s’en faisait expliquer les étapes.
Le maître venait aussi parfois et regardait travailler son intendant en silence. Quoiqu’il aille respectueusement entendre la messe chaque dimanche, il continuait à lire chaque soir une Bible dissimulée derrière le miroir de la grande salle. Odilon assistait parfois à ces lectures, et savait se montrer, à leur sujet, aussi respectueux que discret.
Un soir, après le repas, le maître ouvrit sa Bible et lut un passage dans lequel Onan reçoit l’ordre de l’Éternel de féconder l’épouse de son frère défunt, afin que la lignée perdure.
Bien entendu, ledit Onan désobéit et préféra s’accoupler avec la terre que donner à son frère, prématurément décédé, une descendance tant désirée. C’est ainsi que fut inventé l’onanisme, ...
... et que Onan passa à la postérité tout en étant foudroyé par la colère de Dieu.
Dans un premier temps, François pensa que son maître avait voulu le réprimander pour ses masturbations qui, parfois, souillaient un peu trop visiblement la paillasse de feuilles de frênes de sa couche.
Et puis, il reçut de plus en plus de visites de la maîtresse à la tombée de la nuit et le maître relut le texte en insistant sur le fait que c’était en refusant de féconder l’épouse de son frère qu’Onan avait déplu au créateur et non en épandant sa semence sur le sol.
Au moment où les vers doivent monter dans les brassées de bruyère pour commencer à tisser leurs cocons, la maîtresse vint à la magnanerie à la nuit tombante, s’éclairant d’une bougie qu’elle éteignit en entrant par peur, dit-elle, des incendies.
Dans l’obscurité, elle se heurta à Odilon et ne fit rien pour s’écarter. Au contraire, elle se colla à lui.
Ils eurent un peu de mal à trouver à tâtons la couche, d’autant plus que leurs mains étaient bien occupées par l’exploration mutuelle de leurs anatomies.
La maîtresse, sous sa pèlerine de laine, portait la disgracieuse chemise de nuit à fente qui permet aux époux légitimes de s’accoupler sans se dévêtir dans le but de procréer sans indécence.
Faisant fi de cette commodité fonctionnelle, Odilon retroussa la chemise et la fit passer par-dessus la tête de sa maîtresse, puis il lui dévora les seins qui se dressèrent en signe d’approbation. Les lueurs du feu qui chauffait la ...