1. Un séjour plein de souvenirs coquins.


    Datte: 09/07/2025, Catégories: f, fh, hplusag, fplusag, extracon, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation 69, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, init, nostalgie, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... évitant soigneusement son sexe, me concentrant sur ses hanches et sa taille. Je prends un préservatif sur la table de nuit que je mets et retourne à ses côtés. Elle se tourne vers moi et nous enlaçons tendrement.
    
    Ses mains se font curieuses. Elle parcourt mon sexe dressé, dur comme du bois et enduit mon préservatif de mouille. Ses baisers se font fougueux. Je m’installe entre ses cuisses en me plaçant sur elle.
    
    Elle prend mon membre et le place à l’entrée de son vagin. J’entre lentement et profondément en elle. Je reste quelques secondes tout au fond d’elle.
    
    Je la prends longuement, pas trop vite, prenant soin d’aller tout au fond, de me retirer, de l’investir à nouveau, lui offrant une infinité de pénétrations qui durent de très longues minutes.
    
    La fougue nous saisit. Nous nous dévorons de la bouche et nos mains parcourent nos corps. Je savoure de mes mains le délice de sa peau, la densité de ses seins, la douceur de sa taille et de la peau de ses fesses. Ni l’un ni l’autre n’est pressé que cela s’arrête. Je bouge très peu en elle maintenant, reste au fond et nos pubis se frottent. C’est doux, tendre et si bon.
    
    Je ne pense pas me tromper si j’affirme que nous baisons ainsi une demi-heure durant quand Célia me murmure :
    
    — Je suis en train de venir…
    
    Je me redresse et place ses jambes sur mes épaules. Je la laboure en lui donnant de petits coups secs au moment où mon sexe est enfoncé jusqu’à la garde. Un orgasme puissant et profond enserre ma verge et ...
    ... je me relâche complètement pour jouir à mon tour.
    
    Essoufflés tous les deux, nous nous allongeons côte à côte et nous nous endormons épuisés.
    
    Quinze heures trente déjà, quand nous nous réveillons.
    
    Je lui laisse le privilège d’aller utiliser la douche. Je lorgne son cul quand elle s’y dirige et je sens à nouveau un début d’érection.
    
    Elle en sort bientôt pour monter dans sa chambre s’habiller avec un regard rayonnant.
    
    Après m’être douché, nous nous rejoignons dans la cuisine. Nous avons faim, mais nous décidons de prendre un second petit-déjeuner amélioré. La discussion est gaie. Nous parlons de nos projets, de nos connaissances, et nous rions aux éclats, parfois, devant la truculence des portraits que nous dressons.
    
    Célia est belle, intensément vivante, vibrante même. Si j’étais égoïste, je la draguerais, mais je n’ai aucune envie de m’emparer de la vie d’une jeune femme qui a encore tant à découvrir de la vie. Je pense que dix ans plus jeune, j’accepterais le sentiment naissant pour elle. Je n’ai pas envie de l’abîmer.
    
    Nos discussions, accompagnant la dégustation de ce petit-déjeuner tardif, trouvent leur fin dans un silence et nos regards brillants de désir. Nous savons tous les deux sans rien nous dire que nous allons baiser à nouveau. C’est elle qui donne le départ en venant s’asseoir sur moi et m’embrasser avec gourmandise en caressant mon entrejambe qui ne laisse aucun doute sur mon état.
    
    Je lui pétris les seins. Elle m’interrompt, se lève et se ...
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