1. Un séjour plein de souvenirs coquins.


    Datte: 09/07/2025, Catégories: f, fh, hplusag, fplusag, extracon, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation 69, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, init, nostalgie, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... son vêtement de nuit ; elle lève les bras ; la voici sans voile devant moi.
    
    Ses seins sont merveilleux, très gros. Ses petites aréoles roses et ses gros tétons tendus m’excitent. Elle a une taille d’une finesse qui met en valeur ses hanches plutôt larges et mon regard découvre un pubis, légèrement plus brun que le teint de sa peau, totalement épilé, comme c’est la mode chez les jeunes femmes d’aujourd’hui.
    
    Ses petites lèvres marron dépassent de ses grandes lèvres et sont déjà bien gorgées. J’ai envie de glisser une main sur son abricot, mais me retiens, souhaitant l’amener doucement au plaisir. Nous nous embrassons à bouche que veux-tu durant de longues minutes en lui pétrissant les seins. Ils sont durs, chauds, fermes et la sensation de ses tétons dans la paume de ma main est des plus agréables.
    
    Nous pourrions rester indéfiniment comme cela.
    
    Je quitte sa bouche pour lécher ses tétons. Elle frémit et pousse un soupir d’aise quand je les prends en bouche pour les téter, les aspirer et les mordiller.
    
    — Ils te plaisent, mes seins ?
    — Je rêve de les voir depuis ton arrivée à la gare.
    — Et moi, je désespérais de toucher ta grosse queue depuis que je l’ai vue, dit-elle en joignant le geste à la parole, ma verge reprenant de la vigueur.
    
    Elle est si sensuelle, qu’il est urgent d’éviter une nouvelle éjaculation incontrôlée.
    
    Je l’allonge sur le lit, la tire au bord par les jambes et m’installe confortablement sur le parquet. J’entrouvre ses cuisses que je lèche ...
    ... de l’intérieur vers sa vulve que je prends soin d’éviter. Son clitoris durci me fait signe. Il attendra encore. Une goutte de cyprine coule de son vagin sur son anus.
    
    Quand ma langue aborde l’orée de ses grandes lèvres, Célia frémit et écarte ses cuisses au maximum. Totalement ouverte, elle livre sa fleur, ses petites lèvres déployées les yeux fermés, toute à l’écoute de son plaisir.
    
    Les mains sur ses seins durcis comme de la pierre, j’écarte ses grandes lèvres de ma langue. Elle gémit et me jette un regard hagard quand j’aspire et suce chacune de ses petites lèvres. Son périnée est luisant de la mouille qui s’échappe abondamment de son vagin dilaté.
    
    — Oh, mais non ! C’est trop bon ! Mets-moi ta grosse queue !
    
    Non, ma petite, me dis-je.Tu as su jouer avec moi. À mon tour, maintenant.
    
    Ma langue parcourt toute sa fente depuis son vestibule jusqu’à ses petites lèvres en évitant soigneusement son clitoris tellement tendu qu’il s’est naturellement décalotté. Célia gémit, retire mes mains de ses seins, les garde dans les siennes en me les serrant fortement.
    
    Quand je tapote son petit bouton rose du bout de ma langue, c’est à une explosion à laquelle j’assiste. Elle serre ses cuisses sur ma tête. Je me dégage et regarde, émerveillé, les pulsations de son périnée.
    
    Elle semble complètement anéantie, les yeux fermés, détendue.
    
    J’ai maintenant une furieuse envie de lui rendre intimement visite. J’ai une érection très forte. Je m’allonge à ses côtés, la caresse en ...
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