1. A deux, c’est mieux


    Datte: 08/07/2025, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, uro, fouetfesse, piquepince, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... que nous avions capté l’attention. Toutes semblent soulagées et ravies par la décision de Marie. À l’exception de Colette, qui reste impassible comme il sied à une soumise confirmée. Et de Anaïs, tétanisée par la scène qu’elle observe, en s’y projetant peut-être.
    
    Tout en fouillant à nouveau dans le coffret, Martine s’adresse à moi.
    
    — Presse ses mamelons, s’il te plait, ma chérie.
    
    Je m’exécute. Le sang pulse sous la pulpe de mon pouce quand j’étrangle les bouts de seins de ma puce adorée qui s’abandonne dans mon giron. Je dépose des bises tendres sur sa tempe pour me faire pardonner. Elle n’a pas encore osé regarder, je crois, ce qui décore à présent sa craquette. De fait, elle n’a d’yeux que pour la petite mâchoire d’acier brillant qui s’approche et happe son téton. Martine tourne progressivement la molette en observant les effets de son geste sur le visage de mon amour, et s’arrête enfin sur un tressaillement qui me fait trembler d’inquiétude.
    
    Elle desserre légèrement l’emprise de la pince avant d’en vérifier la bonne tenue. La traction qu’elle exerce fait sursauter Marie, et moi aussi, par empathie. Le clamp est bien fixé sur sa proie. Martine peut officier sur l’autre téton, avec le même soin et la même attention. La même vérification aussi, et les mêmes conséquences qui nous font encore frémir pendant qu’elle fixe deux longues chaînettes aux pinces des seins. « Comme Colette », avait-elle promis…
    
    Je sais l’endolorissement des seins de Marie. Je les masse ...
    ... tendrement là où je peux pour atténuer sa peine. Je ne cherche pas à caresser sa minette, les morsures sur ses nymphes en seraient avivées. Je me contente de câliner sa poitrine en lui murmurant des mots affectueux et des compliments pour son courage dans mes baisers sur sa joue. Ma langue efface les larmes qui perlent de sa paupière, tièdes et salées. Je veux tellement la consoler et la féliciter que je ne réagis pas tout de suite quand Martine me sollicite.
    
    — Chantal ! Hé ho, ma chérie, insiste-t-elle. Tu veux bien ?
    — Hein ? Quoi ? Pardon, je n’ai pas entendu…
    — Tu auras la fessée pour m’avoir obligée à répéter, ricane-t-elle. Tu dois savoir que l’amour n’est pas de mise quand on joue ! Je te disais de la prendre par les cuisses et de la soulever comme si tu faisais pisser une gamine.
    — Oh non Chantal, ne faites pas ça, me souffle Marie affolée.
    — Je ne crois pas avoir le choix, réponds-je sur le même ton. Sauf si tu veux qu’on arrête.
    — Non, mais j’ai envie de… J’ai peur de ne pas me retenir.
    — Tant pis, essaie !
    — Ça suffit, les messes basses, me réprimande Martine. Tu obéis ou tu laisses ta place à Andréa !
    
    Marie a capitulé, de toute façon. Avec un grand soupir, elle a d’elle-même passé ses mains derrière ma nuque pour s’accrocher. Je la prends sous les genoux et je me redresse. Elle est lourde, ma petite chérie. Je dois me raidir pour la supporter, ses cuisses bien écartées et sa craquette offerte. Je ne vois pas, mais je devine les anneaux qui balancent au ...
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