Jeux et châtiments
Datte: 07/07/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
fête,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fouetfesse,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... tituba dans sa hâte à délivrer la victime de sa jouissance égoïste. Trop vite, Clémence laissa échapper un cri. Elle comprit pourquoi en retirant sa propre pince. Elle en claqua des dents, mais la fulgurance de la souffrance, bien au-delà de celle déjà subie dans les tétons, n’avait d’égal que sa brièveté, et l’excitation supérieure qui en résultait.
L’heure de l’apéritif était passée. Ève rassemblait sa suite, invitées et servantes, pour la conduire vers les prochaines agapes. Gwladys et Irène détachaient Clémence et libéraient ses seins. Colette reprit sa place de guide auprès de Olga. La jeune fille accepta son bras sans réticence. Elle n’avait plus honte de regarder avec curiosité le corps nu qui l’escortait, ni le cadenas qui allongeait la chatte et battait sur le haut des cuisses.
— Madame Colette, s’enquit-elle à mi-voix, cela ne vous fait pas mal ?
— Je ne suis que Colette, Mademoiselle. Il ne convient pas que vous me vouvoyiez.
— Mais… Colette… ce doit être gênant… et, insista Olga hésitante, douloureux ?
— C’est la marque de mon statut, Mademoiselle, répondit brièvement Colette. Je vous en prie, ne nous mettons pas en retard.
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(Pendant que ces dames se dirigent joyeusement vers la terrasse où sera servi le dîner, il est peut-être utile de rapporter en quelques mots ce que Colette apprit plus tard de Ève à propos de ses amies.
Pour la gérante de la boutique, Françoise, elles avaient sympathisé dès que les obligations sociales avaient ...
... conduit Ève à fréquenter les magasins de luxe. Elles s’étaient découvert des goûts communs et s’étaient rapidement liées dans une amitié sans réserve.
Les deux autres étaient d’anciennes camarades de Fac, devenues des intimes après les soirées sans tabou organisées à l’époque chez Ève avec la complicité active de Clémence. Le prénom de Davila était en réalité Thérèse. Son type espagnol et sa propension aux épectases bruyantes l’avaient fait surnommer « Thérèse d’Avila ». Elle avait adopté Davila, beaucoup moins commun que Thérèse.
Christine, de son vrai et banal prénom Marguerite, avait dès son adolescence des manières précieuses qu’elle avait cultivées et développées étudiante, au point d’être qualifiée de « reine » par dérision. Le rapprochement avec le diminutif de Marguerite avait été facile et l’appellation « la Reine Margot » avait commencé à se répandre. Quitte à subir un surnom, elle en avait profité pour faire circuler celui de « Reine Christine », plus élégant et mieux en adéquation avec sa blondeur et sa personnalité. L’habitude en était restée.
Quoiqu’il en soit, les trois étaient des amatrices suffisamment convaincues et expérimentées pour que Ève les invite régulièrement à participer à ses réunions très privées.)
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Le repas fut agréable, il eut été surprenant qu’il ne le soit pas. Il le fut même avant d’aborder les hors d’œuvres. Davila rappela opportunément à Ève sa promesse de lui permettre, ainsi qu’à Christine, d’achever l’examen ...