1. Jeux et châtiments


    Datte: 07/07/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... n’avait pas été conviée à ces amusements. Elle observait, s’astreignant à conserver l’attitude modeste qui lui seyait. Bizarrement, la phrase rituelle « merci Maîtresse », ou à tout le moins « Madame », n’avait jamais été prononcée par Clémence. Elle remarqua aussi que la zone du sexe avait été relativement épargnée. Deux ou trois marques seulement ornaient la peau au-dessus de la touffe argentée, contrairement au reste du corps, dos et fesses surtout.
    
    La correction récréative semblait cependant terminée. Issa et Jenny avaient apporté verres et boisson fraîche alcoolisée. Les invitées s’empressaient autour d’elles tandis que Gwladys et Irène se rapprochaient de Clémence comme pour mettre fin à sa suspension. Ève fit alors signe à Colette de venir près d’elle et lui fourra une pince à linge dans la main, une banale pince en bois toute bête.
    
    — C’est toi qui va parachever la punition, lui dit-elle.
    
    Colette ne comprit pas tout de suite. Elle vit Irène et Gwladys écarter chacune une jambe de Clémence, la privant du fragile appui de ses orteils et l’obligeant à porter tout son poids sur les cordes qui enserraient ses seins. De son côté, Ève écartait les lèvres du sexe et faisait saillir le clitoris.
    
    — Pose la, ordonna-t-elle.
    
    Aucune méprise n’était possible. Colette savait tous les regards tournés maintenant vers elle. Reculer, c’était avouer sa faiblesse et l’inanité de sa formation, c’était aussi faire perdre la face à sa Maîtresse devant ses amies. Obéir, c’était ...
    ... torturer cruellement celle qui avait adouci tendrement ses peines. Elle en aurait pleuré. Elle pleura.
    
    Elle obéit en pleurant. Elle laissa la pince se refermer le plus lentement possible. Scrupule inutile. Clémence se raidit et ses traits se crispèrent dans son refus de gémir. S’y ajouta un léger tremblement des mains. Ce fut tout. Ses jambes libérées retrouvèrent le sol du bout des pieds. La pince pointait comiquement hors de sa chatte, comme un ersatz ridicule.
    
    Ève tendit une autre pince à Colette.
    
    — À toi !! Tu la poses toi-même.
    
    Malgré la peur de sévices encore inconnus, elle fut soulagée par cet ordre. Il atténuait sa responsabilité. Elle dut tâtonner, extirper son capuchon, le retrousser pendant que le cadenas brinquebalait entre ses cuisses, approcher la pince ouverte du bourgeon nu. Elle ferma les yeux et ouvrit ses doigts. La douleur l’électrisa, parut monter en flèche, puis se stabilisa. Une étrange impression de chaleur, des pulsations taraudantes, des plaintes… Les siennes.
    
    — Tiens ! Il semble que l’on soit punie par où l’on a péché, émit sentencieusement Davila.
    
    Sa sortie provoqua les rires de la galerie, jusqu’à Olga qui se permit de sourire, tandis que Ève comptait lentement à haute voix. À trente, elle s’arrêta, ignorant la déception de son public, et son ton devint presque tendre.
    
    — Tu peux enlever la pince de Clémence, et la tienne ensuite.
    
    Il n’y avait que trois pas à faire, une distance qui semblait bien plus grande à Colette. Elle ...
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