1. Jeux et châtiments


    Datte: 07/07/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    J’ai baigné dans mon jus jusqu’au restaurant. Colette a pris un « raccourci », « pour rattraper notre retard », selon elle. En fait, un horrible chemin forestier qui, au tangage et au roulis, a ajouté des trépidations verticales. Inutile de dire que les cascades de bas en haut des boules de geisha n’ont pas calmé mon excitation. J’ai remercié le dieu des Bacchanales quand la voiture s’est arrêtée sur le parking.
    
    Soulagement, hélas, de courte durée car ma robe préventivement retroussée ne manquerait pas, vu l’humidité de mes fesses, de s’imprégner d’une belle tache dès qu’elle recouvrirait mon cul nu. Colette ne s’est pas démontée : elle les a essuyées soigneusement avec le mouchoir dont elle avait épongé mes cuisses après ma branlette jaillissante. Je suis sûre qu’elle aurait agi de même si notre arrivée nocturne n’avait pas garanti un minimum de discrétion. Je la connais bien ma chère diablesse !
    
    Grâce à ses soins, l’entrée chez F* ne soulève pas de scandale. J’essaie de contenir au mieux les crispations que m’infligent les joyeuses roulades de mes hôtes vaginales, tandis que mon mentor (on ne dit pas « ma mentore », n’est-ce pas ? ) répond aux saluts cordiaux des tablées. Elle me présente comme sa jeune amie et embrasse le patron ravi de nous revoir si vite. La salle est presque pleine et les chaises libres recouvertes de tissu. La perspective de m’asseoir en relevant ma robe sous les regards qui nous suivent autant que ce qui ...
    ... résultera du séjour de mon fondement sur le siège me font frissonner d’inquiétude.
    
    Mais la serveuse nous dirige vers la terrasse couverte, et heureusement chauffée, après quelques mots échangés avec Colette.
    
    — Nous y serons plus au calme, même si c’est moins confortable, me rassure celle-ci.
    
    Au calme, au calme, tout est relatif ! Il y a simplement un peu moins de monde. Que des couples, apparemment, et pas d’enfants, qui risqueraient de prendre froid, sans doute. Quant au confort, en effet, il donne dans le spartiate avec des tables et des chaises en fer. Ce qui n’a rien d’étonnant : le métal ne craint pas la mouille.
    
    Je me résigne à accepter la suggestion de Colette qui propose de nous mettre en bord de terrasse. « Vous profiterez ainsi du lever de lune », m’assure t’elle en m’invitant à me placer face à l’extérieur, de dos aux autres clients, bien sûr. Il parait que le spectacle vaut le coup d’œil. Mon absence de culotte aussi, qui n’a pas dû échapper aux yeux aiguisés des femmes, ni à ceux intéressés des hommes. Quoi de plus machinal que de regarder s’installer les nouvelles venues ?
    
    Le moment d’intérêt passé, les conversations reprennent sans plus s’occuper de nous, à part quelques regards de loin en loin. Les tables sont espacées, la nôtre un peu à l’écart. Nous ne sommes pas gênées par le brouhaha et bénéficions d’une certaine discrétion en dehors des allers et venues de la serveuse pour nous apporter les plats. Plats succulents au demeurant et serveuse ...
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