1. Jeux et châtiments


    Datte: 07/07/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... avenante. Tout ce qu’il faut pour calmer les remue-ménage dans mon vagin et me permettre de continuer à recueillir les confidences de Colette.
    
    Elle est adorable, comme à son habitude quand nous ne jouons pas à maîtresse et soumise, et prolixe, sans périphrase quand la solitude nous autorise les mots crus. Si cette récréation est bienvenue pour mon ventre, les descriptions dont je suis gratifiée m’enflamment l’esprit. Côté excitation, les conséquences sont identiques. À souhaiter que rien ne goutte à travers la chaise… Surtout lorsque la terrasse se vide et que les salutations s’empressent autour de nous, plus précisément de moi. Allez savoir pourquoi !
    
    La Lune nous fait languir de trop. En attendant qu’elle daigne se lever, Colette propose une promenade digestive. « Nous reviendrons pour le café » annonce t’elle en se dressant, à la jeunesse qui vient débarrasser les assiettes du dessert. Et d’ajouter « venez » en me tendant la main. Le moyen de faire autrement ? Je saisis la main tendue et je suis le mouvement. La robe retombe pudiquement sur mes fesses, la serveuse se concentre discrètement sur sa tâche, mais je ne doute pas que la curiosité attirera son regard sur ma chaise vide.
    
    Je passe par-dessus le petit muret derrière Colette. Il faut sauter légèrement en contre bas, elle le fait souplement. Vous avez déjà sauté de deux marches avec des boules de geisha dans la chatte ? Sinon, vous n’avez aucune idée des coups et contre coups qui se succèdent au plus intime ...
    ... de votre personne. Je ne peux éviter un cri de surprise, plutôt un gémissement lascif, qui appelle l’attention inquiète de la jeune serveuse. Mon geste désinvolte la rassure, mais je maudis gentiment ma malicieuse tortionnaire qui cache son sourire amusé.
    
    Comme je l’ai déjà dit, je crois, quand on se promène avec Colette, il ne faut pas lambiner ! Je trottine à sa hauteur, pour ne rien perdre de ses propos, en essayant de réprimer les tressautements internes que dispense généreusement notre marche rapide. Je halète, et pas de fatigue, cette fois. Je suis sûre que de jour on verrait des taches humides sur mes traces. Heureusement, Séléné finit par honorer le rendez-vous promis. Le spectacle de la forêt sous la clarté lunaire est magnifique, c’est vrai. Satisfaite, ma guide se décide à revenir au chaud. Tant mieux ! Le patron nous attend avec café et liqueur. Manquait plus que cela !
    
    Je manœuvre aussi habilement que possible afin de ne jamais présenter que ma partie face à notre interlocuteur, en tachant de garder une distance de bon aloi. On ne sait jamais, je n’ai pas les moyens de mesurer la diffusion de mes arômes. Dès que la politesse le permet, je me retire des congratulations, remerciements et échanges divers, sous prétexte d’écrire « à la famille ». Je rafle quatre feuilles de papier avec la bénédiction du patron pour me réfugier à notre table sur la terrasse abandonnée. Objectif : mettre au net les souvenirs narrés ce soir par Colette, et me préparer à un retour ...
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