1. Carnaval Ch. 02


    Datte: 05/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... ne fais rien pour fuir. Je sens une légère pression sur mon sphincter, je suis entre l'excitation et la panique. Je ne suis pas venu avec un couple sans savoir que cela arriverait. Madame me demande si j'en ai envie, je hoche la tête. Mais elle veut m'entendre le dire, elle veut que je supplie Marc de m'enculer. Je lui obéis, je m'excite à m'entendre, je m'excite des photos qu'ils prennent et de la vision que je dois offrir. Je leur dis quand même que je suis totalement vierge.
    
    Madame se lève alors, me laissant seul allongé sur le lit. Je la vois revenir portant une culotte en satin avec un mince sexe en silicone, noir, pénis factice. Comme je suis vierge, elle va me prendre avant Monsieur, chacun aura ainsi sa défloration, elle avec un olisbo, lui avec un sexe d'homme. Je leur suis tellement reconnaissant de toutes leurs attentions. Cela les fait rire.
    
    Elle se positionne à genoux derrière moi, un doigt enduit de crème, elle fait le tour de mon anus, pèse doucement dessus, sans l'enfoncer. Je le sens qui se détend, sans effort qui s'ouvre, elle continue les mouvements circulaires, j'espère à cet instant être propre. Bientôt je n'y penserai plus. Le premier doigt est à peine enfoncé, un second le rejoint. La première sensation désagréable est remplacée par une émotion très forte, j'ai envie de pleurer, je pleure d'ailleurs de plaisir, je les remercie, mon plaisir est divin. Les deux doigts massent mon anus de façon plus profonde et large, je le sens souple et offert. ...
    ... Quand ils se retirent, c'est un manque, vite comblé, Madame appuie le bout de son petit gode sur l'anus déjà ouvert. Le début rentre presque sans que je ne sente rien. Elle appuie, je le sens coulisser, en va et vient lent, il s'enfonce de plus en plus, j'ai le souffle coupé. Je ne ressens aucune douleur, juste cette plénitude de la sentir me remplir. Sans sortir de moi, elle me fait mettre à 4 pattes, pour me prendre plus profondément. Monsieur se met en face de ma bouche pour que je le suce en même temps.
    
    Les mouvements de Françoises s'accélèrent, je gémis sans faire attention, tout en léchant Marc, maladroitement, mais cela semble lui plaire. Aussi la vision de sa femme dont les lourds seins ballotent de plus en plus alors que son rythme devient endiablé. Je la sens qui devient complètement extatique, qui m'insulte en tant que chienne à bite, qu'elle va me dresser, faire de moi une pute à chantier, qu'elle va ouvrir mon cul pour que je sois pris par un cheval. J'adore tout ce qui vient d'elle, je suis, à cet instant, complètement à eux et ne rêve que de pouvoir réaliser leurs fantasmes.
    
    Epuisée elle s'écroule sur moi, je sens sa sueur, les anneaux de ces tétons. Elle est restée profondément fichée en moi, mais je ne la sens presque pas. Elle griffe doucement mes flancs, m'envoyant des décharges électriques, tandis que je reste appliqué à lécher Monsieur qui n'a toujours pas joui. Quand enfin elle se retire, ils changent de place avec Monsieur, et je me retrouve avec sa ...
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