Carnaval Ch. 02
Datte: 05/07/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... chatte couverte de sueur dans la bouche. J'ai hâte maintenant d'être vraiment défloré, de devenir une réelle femelle. Je n'en ai aucune honte, au contraire, je pense tellement que c'est ma place. Le poids sur le lit est plus important, les mains plus fermes sur mes hanches écrasées par le corset. Je sens son sexe appuyer, ouvrir, déflorer mon cul, sans répit, il s'enfonce peu à peu, j'ai à nouveau le souffle coupé. C'est long, c'est gros, c'est chaud, c'est si dur, c'est si agréable. Je le sens tout au fond de mon ventre, tandis qu'il se met à me limer longuement régulièrement, de toute la longueur de son sexe. Cela provoque des fourmillements insupportables sur mon propre pénis, j'ai l'impression que je vais uriner, ou bien jouir, mais rien ne se passe. Cela dure si longtemps, je lèche Françoise de façon totalement désordonnée, je ne suis qu'un énorme gémissement. Je sens mon sexe couler, je suis honteux, mais je ne peux rien y faire.
Et puis Monsieur se retire presque totalement, il joue juste avec mon anus, l'ouvrant et le fermant à grande vitesse. La sensation est terrible, terrifiante, il me faut toute ma concentration pour ne pas m'écrouler ou chercher à m'enfuir. Il n'arrête pas, veut casser mon cul, je veux bien le croire. Quand enfin il plonge profondément en moi c'est un soulagement. J'ai mal partout, tout mon corps est crispé, Madame choisit ce moment pour jouir de ma déconvenue, Monsieur se lâche enfin. Je regrette de ne rien sentir de ses jets de sperme, ...
... mais ses spasmes ne me trompent pas. Je m'écroule complètement cassé.
Après un temps Monsieur et Madame se servent une coupe de champagne, je n'y ai pas droit, je m'en moque, je veux juste dormir, je n'en peux plus. Avec un grand sourire Madame m'explique qu'une chienne comme moi ne dort pas dans un lit mais par terre aux pieds de ses Maîtres. J'en suis bien d'accord, je suis leur chienne, j'en suis terriblement fier. Fière me dit-elle, je ne dois plus penser qu'au féminin. Le room service apporte une seconde couette, je m'allonge aux pieds du lit, du côté de Madame, sur l'épaisse moquette. Je suis épuisé mais je n'arrive pas à dormir. Epuisée plutôt. Je flotte, je plane, je suis terriblement bien. Quelle nuit! Monsieur et Madame parlent de moi, je n'entends pas vraiment, je suis juste sidérée qu'ils s'intéressent à moi.
Je réalise que je suis toujours en corset aussi serré, je prends la liberté de me desserrer discrètement, cela fait un bien fou. Je caresse mes couilles et mon sexe ainsi enfermé, terriblement excité de ne pas posséder la clé. Plein de pensées paniquantes viennent à moi, comme comment je vais me libérer, ce que je vais dire aux filles, comment je vais faire lundi au boulot, mais elles sont aussitôt repoussées par un vent de bonheur que je n'ai jamais connu. Quelles que soient les conséquences, je devais vivre cela, je suis à ma place. Je pense à ma dermato, que va-t-elle penser de cela? J'ai une grande gratitude vis-à-vis d'elle. Je me souviens qu'elle ...