1. Carnaval Ch. 02


    Datte: 05/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    Jamais je ne me suis senti désiré, cela me trouble tellement, je me sens palpiter. Une fois la porte fermée, Françoise me saisit par les cheveux et m'embrasse d'un baiser torride. Je plane complètement. Je sens Marc se coller contre moi, sa queue déjà dure entre mes fesses, cela me trouble terriblement. Je n'ai jamais même touché une queue, et celle-ci, ce soir me fait envie! Il sort mes seins du corset, les pétrit, pince les tétons, je gémis tellement c'est bon. Madame presse ses mains sur ma taille, descend sur mes fesses, remonte doucement ma jupe en cuir pour les dénuder. Elle plante ses ongles dans ma chair, me faisant frissonner de plaisir. Elle rit de voir mon sexe, si petit, ne pas réagir. Et pourtant je suis rempli de désir et d'envie, mais il est vrai que ce désir n'est pas descendu jusqu'à lui.
    
    Ma jupe est otée, comme mon chemisier, ils me font tourner, me pencher, je les entends parler de moi, cela m'excite cette passivité, d'être l'objet de leur désir. Ils évaluent ma poitrine à un petit C, étonné que le traitement n'ait commencé qu'il y a trois mois, Monsieur pense que je devrais obtenir une belle poitrine D, même si pour l'instant sa forme ne me plaît pas beaucoup. Mon string suit le même chemin, Marc regarde ma cage et décide que le cadenas n'est pas très sérieux. J'en suis d'accord. Avec un simple tirebouchon il le fait sauter il demande à sa femme de prendre le cadenas de sa valise, un Louis Vuitton, qui résistera autrement mieux. Mais dont je ne possède ...
    ... pas la clé. Il l'enfile et le met en place sans le fermer, m'indique qu'ils souhaitent le sceller, qu'ainsi je serais à eux, mais que c'est à moi de le fermer. Je suis chaviré et sans hésiter, ni réfléchir je le ferme, scellant mon sort. Ils s'embrassent passionnément avant de m'allonger sur le lit juste vêtu de mes bas et mon corset, et ma cage donc bien fermée.
    
    Madame est en guêpière et bas blancs. Je suis fasciné par son corps, dense, musclé, puissant. Mais surtout par les anneaux qu'elle porte aux tétons ou aux sexes, dorés, lourds, épais. Sur le pubis, un serpent qui se mange la queue et dans le dos un dragon dessiné en mille couleurs. Elle est intimidante. Monsieur se met nu, il est svelte avec un léger duvet de poils noirs d'un très bel effet, musclé, entretenu. Son sexe est plus gros que le mien, pas l'actuel, mais le normal, et me semble très beau. Le prépuce est découvert, il est dur, horizontal.
    
    - Tu n'es pas vraiment un homme, tu es d'accord, tu semble toute douce, féminine, sensible
    
    - Non Monsieur, c'est vrai
    
    - Mais tu n'es pas une femme bien entendu
    
    - C'est vrai, Madame, même si je fais tout pour, je ne serais jamais une femme
    
    - Et qu'est-ce-qui te manquerait?
    
    - Oh la beauté des femmes, mais surtout leur façon d'être des reines, ayant le pouvoir de procréer, je crois que cela fait la femme
    
    - Intéressant, mais alors ni homme ni femme?
    
    - Je suis ce que vous voudrez
    
    - Je pense Françoise que c'est une chienne, tu ne crois pas?
    
    - Oui ...
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