1. Carnaval Ch. 02


    Datte: 05/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... absolument, une femelle, une chienne, c'est exactement cela. Tu veux être notre chienne?
    
    - Oui Madame (Je n'ai même pas pris conscience que je les appelais Monsieur et Madame, ils m'impressionnent bien plus ici qu'au bar)
    
    - Il faudrait lui donner un nom!
    
    - Natacha?
    
    - Non cela fait hôtesses de l'air je trouve
    
    - Nala?
    
    - Ah oui, très bien Nala. Maintenant tu es Nala, tu veux bien?
    
    - Oui Madame, tout ce que vous voudrez
    
    - Tout ce que je voudrais? Malheureux, tu n'as pas idée de ce que je peux vouloir.
    
    - Vous me comblez tellement, vous ne pouvez pas savoir
    
    - A découvrir que tu es une petite chienne et non un mâle comme tu le prétends.
    
    - Oui (je murmure)
    
    - Alors qu'attends tu? Pour t'occuper de Monsieur?
    
    Je les regarde tour à tour, je ne fais pas semblant de ne pas comprendre, je sais exactement ce qui est attendu de moi. Et dont j'ai envie à cet instant. Mais je suis intimidé. Je viens à 4 pattes au bord du lit, je descends et me mets à genoux aux pieds de Monsieur qui me domine de toute sa stature. Je prends son sexe en main, une sensation étrange, différente de mon propre sexe que je n'ai pas tenu si dur depuis longtemps. Je sors la langue, je lèche son prépuce, pas trop longtemps, j'engouffre son membre dans ma bouche, surpris d'avaler si peu de sa longueur. Ma langue lèche son frein (j'adore cela) et j'aspire pour lui donner plus de sensation. Mes mains ne sont pas inactives, l'une masse sa tige, l'autre ses couilles, très doucement. Il ...
    ... saisit ma tête, pour me faire aller et venir, je perds le contrôle. Il s'enfonce plus loin, je manque perdre le souffle, je fais tout pour ne pas réagir. Il accélère le rythme, m'utilise, me saisit par les oreilles, je suis concentré à ne pas perdre l'équilibre, l'exercice est pénible, humiliant. Pourtant je sens des picotements d'excitation dans mon ventre, il m'utilise et j'aime cela. Il se retire avant d'avoir éjaculé et explique à Françoise que j'ai besoin d'être formée. Je pleure de l'avoir déçu, je n'arrive pas à retenir mes larmes, mais ils ne viennent pas me consoler. Françoise me demande de venir m'occuper d'elle, voir si je suis moins mauvais.
    
    Je sèche mes larmes, et je rampe sur le lit vers ses jambes écartées, montrant un sexe volumineux, couvert d'anneaux. Le clitoris n'est pas en reste, au moins je ne risque pas de le rater. Je lèche doucement au-dessus, autour, tandis que mes mains caressent ses cuisses, ses fesses. Elle ondule très vite, presse mes lèvres contre elle. Je descends ma langue pour laper son jus, que j'adore trop, j'aurais envie de la boire sans fin. Mon nez caresse son clitoris, cette fois c'est elle qui m'utilise. J'essaie de glisser un doigt entre ses lèvres, il pénètre son sexe dégoulinant, je l'entends approuver, alors je continue, tandis qu'elle jouit bruyamment. Je suis épuisé.
    
    C'est alors que je sens deux mains sur mes fesses. J'ai toujours le visage entre les cuisses de Françoise, qui les a refermées, comme pour me bloquer. Mais je ...
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