Ménage à trois sous conditions - Histoires de Sexe

Ménage à trois sous conditions

... deux et que tu nous baises, pas vrai, mon homme ? Je t’ai bien vu reluquer ses cuisses et ses petits seins arrogants, d’ailleurs j’adore lui sucer les tétons, à ma Cathy, elle mouille tout de suite… Suce-moi les seins, Franck, et regarde si je mouille…

Elle enleva son haut pour brandir ses seins sous le nez de son mari qui se jeta dessus, léchant avidement, pétrissant ces globes excitants. Quand sa gorge fut couverte de salive, Catherine arracha littéralement le pantalon et le sous-vêtement de Franck et, s’agenouillant devant lui, emprisonna entre ses seins l’obélisque de chair fièrement dressé. Elle imprima alors à sa poitrine de doux mouvements de va-et-vient, léchant le gland à chaque fois qu’il émergeait de ses lourds appas.

— Retiens-toi, mon chéri, ne jouis pas sur mes seins, je te veux en moi, je veux sentir ta virilité dans mon ventre, je veux boire ton plaisir…

Catherine se releva et, le regard planté dans celui de Franck, glissa ses mains sous sa jupe pour en retirer sa culotte, qu’elle plaqua sur le visage de son époux.

— Tu sens, mon amour, comme je mouille pour toi ? Tu sens le fumet de la femelle en chaleur ? Tu aimes cette odeur de bourgeoise en rut, ce parfum de chatte grande ouverte qui attend qu’on la pénètre ? Mmm… on dirait que ta queue est encore plus dure qu’entre mes seins…

Au comble de l’excitation, Catherine se débarrassa de sa jupe qu’elle lança au hasard. Debout, nue, fièrement dressée devant un mari encore assis et incrédule, elle le ...

... saisit par la verge pour qu’il quitte son fauteuil.

— Montre-moi que tu m’aimes, beau gosse, prouve-moi que je t’excite autant que le joli petit cul qui dort tout près et qui te fait bander…

Catherine s’allongea sur la table, remonta ses jambes en les écartant au maximum et, passant les mains derrière ses genoux pour se maintenir ainsi ouverte, appela Franck.

— Viens, mon bel étalon, viens saillir ta bourgeoise en manque de sexe. Oui, mon amour, oui, enfonce-toi complètement en moi… fais-moi jouir… tu sens comme je coule ?

Il ne fallut à Catherine que quelques brefs aller-retours du glaive dans son fourreau pour atteindre l’extase, dans un cri profond, au moment où son entrecuisse distendu par l’organe mâle libéra un flot de cyprine qu’elle sentit ruisseler sur son périnée. Mais, comme le membre qui la fouillait semblait vouloir poursuivre son œuvre, Catherine saisit ce bâton de chair à sa base, le guida hors de sa grotte humide pour le présenter à l’entrée la moins visitée, luisante de son nectar intime. Afin de ne laisser aucun doute quant à ses intentions, elle emprunta au film porno visionné la veille quelques exhortations de circonstance.

— Oui, mon chéri, oui, je veux que tu m’encules, ici, là, maintenant, prends-moi par mon petit trou… doucement mon amour, ah oui… oh comme ça c’est bon… viens… n’aie pas peur, continue… Ohhhh… tu es tout en moi mon homme… tu me dilates le cul…

Catherine, s’abandonnant totalement, glissa entièrement deux doigts dans sa ...