Ménage à trois sous conditions - Histoires de Sexe

Ménage à trois sous conditions

... provoque pas trop, ne cherche pas à en rajouter, tu vas un peu loin je trouve… tu me mets dans une situation désagréable…
— Ne t’inquiète pas, trésor, tu as vu comme il bande ? Je te jure qu’avec ce que je vais lui faire maintenant, il ne va rien me reprocher… J’ai regardé des films pornos sur internet et j’ai des idées qui vont lui plaire, tu peux me croire… Mais si tu savais ce que j’ai envie de te faire à toi, maintenant, tu serais choquée. J’ai la chatte en feu, Cathy, je mouille comme une fontaine, regarde(elle souleva sa jupe, montrant son string trempé)… j’ai envie de toi, de te prendre avec ton jouet, de te doigter, de sucer ton clito et de te faire jouir dans ma bouche… de boire ton jus… de te faire l’amour toute la nuit…

Ouvrant le tiroir de la table de nuit :

— Regarde, ma chérie, j’ai fait quelques achats sur internet grâce à tes cours privés… ! Si tu penses à moi cette nuit, n’hésite pas ! Bonne nuit, mon amour, je vais assurer notre avenir, maintenant. !

Stupéfaite de l’audace de Catherine, de sa totale désinhibition, Cathy découvrit un gode-ceinture, plusieurs vibros, du gel, un stimulateur clitoridien, des boules de geisha et un plug anal. Jamais elle n’aurait pu croire que cette femme mature, toujours élégante et soignée, polie, mais sans chaleur, qu’elle croisait de temps à autre dans les couloirs de l’entreprise deviendrait sa maîtresse assoiffée de sexe et toujours prête à la faire jouir. Elle se coucha, seule dans ce grand lit pourtant bien ...

... plus accueillant à deux, et ne put résister à plonger sa main dans sa culotte souillée pour soulager son excitation.

Catherine, de retour au salon, y retrouva Franck, assis, les yeux dans le vide, un verre d’alcool fort à la main.

— Tu as été magnifique, mon chéri, ce n’était pas évident d’être aussi charmant que tu l’as été. Je débarque ici avec mon amante et tu lui sers à boire, tu lui prépares le repas… Je suis fière de toi, mon amour, vraiment. Tu l’as trouvée comment, ma Cathy ?
— Magnifique, très belle en effet, mais tu avais vraiment besoin de la peloter sous la table et de la bécoter ? Tu voulais m’humilier, me faire passer pour un mec tyrannisé par sa femme ? Tu voulais me tester, voir si j’allais vous foutre dehors ?
— Tu as trop bu, chéri, tu dis des choses qui n’ont pas de sens. Si j’avais voulu t’humilier, je serais au lit avec elle maintenant, et tu tiendrais la chandelle. Et puis si je regarde la bosse de ton pantalon, pour un humilié tu gardes la tête haute… !

Très chatte, un peu ivre, Catherine s’approcha presque en titubant de son mari et l’embrassa lascivement, léchant ses lèvres, lui demandant sa langue pour la sucer pendant que sa main débouclait la ceinture du pantalon et en abaissait la fermeture éclair. A l’oreille, elle lui glissa à voix basse, comme une confidence intime :

— Dis-moi, elle te plaît bien, mon amante, hein, gros bandeur ? C’est elle, qui te fait triquer comme ça, ou c’est moi ? Tu aurais bien aimé qu’on se gouine toutes les ...