Ménage à trois sous conditions - Histoires de Sexe

Ménage à trois sous conditions

... dis ? Tu vas me trousser comme une servante ? Tu sens comme je suis déjà humide ? Viens, chéri, embrasse d’abord ma féminité, goûte à mon jus d’amour qui coule pour toi… lèche-moi le cul s’il te plaît…

Franck, excité comme jamais se déshabilla en un temps record et, le cœur battant la chamade, s’agenouilla entre les cuisses de sa superbe épouse qui le guida dans ses caresses buccales les plus osées. Se sentant sur le point de céder, Catherine intima :

— Prends-moi maintenant, viens en moi, vite. !

Nul n’aurait pu résister à pareil appel, aussi Franck embrocha-t-il sa femme d’un seul coup et la baisa littéralement comme un soudard. L’orgasme les foudroya quasi instantanément.

— J’adore ce que tu m’as fait, Franck, c’est bon d’être désirée aussi fort et de pouvoir être prise debout par son mari, ailleurs que dans la chambre, pour jouir ensemble. Je te plais encore ?
— C’était merveilleux, ma chérie. Oui, tu me plais, tu es toujours aussi belle même si j’ai toujours de la peine à comprendre cette soudaine frénésie de sexe chez toi. La jeune collègue expressive, ouais, bon, d’accord… mais je ne suis pas convaincu… tu ne me caches rien d’autre, mon amour ?

Ils étaient tranquillement installés, buvant un verre pour récupérer de leurs ébats torrides. Catherine se dit que le moment était propice pour dissiper le mensonge, pour se libérer d’un poids insupportable, pour confirmer à son mari l’influence de la jeune collègue, mais sans en révéler entièrement les ...

... circonstances.

— Si, Franck, je ne t’ai pas tout dit…
— J’en étais sûr… Tu as un amant ? Qui c’est ? Pourquoi tu m’as fait ça ? Tu es une…
— Attends, mon chéri, laisse-moi te raconter, ne t’énerve pas et reste poli. Tu me traîneras dans la boue après si tu le juges nécessaire, mais d’abord écoute-moi.
— C’est quoi ces salades à la con ? Je suis cocu et je dois encore la fermer ? Mais tu es qui, Catherine, tu déconnes complètement ou quoi ? Tu crois que je vais t’écouter sans rien dire et que…
—(Élevant la voix) Ohhh… Arrête de faire le macho, nom de Dieu, t’es pas avec tes camionneurs ici, montre-toi un peu plus fin, je suis ta femme, pas une employée que tu peux sermonner de discours à deux balles… Tu veux savoir ou pas ?
— Bon, d’accord, je t’écoute, mais surveille tes propos.
— Tu me menaces ou quoi ? Le dialogue, ça marche avec tes chauffeurs, mais avec ta femme tu ne veux même pas écouter ?
— Ça va, ça va, je t’écoute.
— Bon. La jeune collègue délurée, elle est belle, elle est jeune, pleine de vie, elle parle de sexe comme d’autres parlent de cuisine ou de leur collection de timbres, sans retenue. Comme je te l’ai déjà dit, question galipettes, je me sentais un peu frustrée, un peu jeune pour me résigner à une vie sexuelle de carmélite. Elle m’a séduite, fascinée, on a sympathisé, et… j’ai fait l’amour avec elle. C’était incroyable. Voilà.
—(Hurlant) Quoi ? Tu me trompes avec une gouine ? Mais t’es devenue dingue, ma parole… Tu as baisé avec une de ces… ces… gonzesses ...