Ménage à trois sous conditions
Datte: 30/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
nympho,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
extraconj,
bisex,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... de naturel.
— Oh oui, très bonne idée, mon chéri, c’est toi qui cuisines ?
— Oui, oui, c’est déjà prêt.
Catherine, enlaçant fermement sa muse par la taille, l’embrassa tendrement sur la bouche avant de lui déclarer joyeusement :
— Tu as raison de rester, ma chérie, Franck est un excellent cuisinier et il possède également une excellente cave.
Un peu choqué, le mari se dirigea vers la cuisine, une érection douloureuse le comprimant dans ses vêtements.
Étonnamment le repas fut détendu, sauf quand émergea le problème des employés syndiqués, Franck n’y voyant qu’une bande d’emmerdeurs jamais contents et Cathy des pauvres gens exploités par des patrons sans scrupules. Catherine dut apaiser les esprits pour éviter des écarts de langage, surtout chez Cathy.
Fin du repas, café au salon, les deux femmes côte à côte dans le profond canapé, Franck toujours dans le fauteuil en face. Conversation variée, ton affable des deux côtés. Cathy, en s’asseyant, n’avait pas pu empêcher sa jupe de remonter un peu, dévoilant légèrement la dentelle de ses bas, surtout lorsqu’elle croisait les jambes. De plus, l’appartement étant bien chauffé, elle avait enlevé sa veste, et son vis-à-vis ne pouvait ignorer les tétons tendant l’étoffe du chemisier porté librement, et dépourvu de boutonnage sur sa partie haute.
Cathy avait parfaitement conscience que l’époux de son amante bandait, elle souriait intérieurement en pensant à l’assaut qu’allait subir Catherine après l’avoir ...
... raccompagnée. C’était mal connaître le côté machiavélique de sa partenaire…
— Cathy, ma chérie, je constate que nous avons tous les trois pas mal bu(c’était plus que vrai…), et aucun de nous n’est apte à conduire pour te raccompagner à la gare, ce serait imprudent. Nous avons une chambre d’amis(clin d’œil discret) dans laquelle tu trouveras tout ce qu’il faut, et je te raccompagnerai demain matin.
Avant que Cathy n’ait pu prononcer un seul mot, Catherine, se dirigeant vers son mari d’une démarche chaloupée à souhait, posa discrètement la main sur son entrejambe et s’enquit de son accord :
— J’imagine que tu n’y vois pas d’inconvénient, mon chéri ?
Au contact des doigts de sa femme sur son sexe tendu, Franck crut qu’il allait éjaculer. La garce, elle le piégeait, mais de manière élégante et avec à la clé peut-être la promesse d’une nuit torride…
— Bien sûr que non, ma chérie, au point où j’en suis, pourquoi ne pas faire un cocu hospitalier ?
— Écoutez… je… je… ne veux pas vous déranger plus longtemps, c’est très gentil de me proposer de rester, mais je vais appeler un taxi. Ce sera plus simple.
— Mais non, mon amour, il est tard, pas sûr que tu en trouves un, en plus, nous sommes vendredi et ils sont très demandés. Viens, je vais te montrer ta chambre.
Catherine prit ostensiblement la main de sa jeune amante et la conduisit jusqu’à ladite chambre.
— Tu es folle, Catherine, je ne te reconnais pas… Tu joues avec le feu… Il a été très charmant, ton mari, ne le ...