Grande bringue
Datte: 28/06/2025,
Catégories:
fh,
ffh,
freresoeur,
Collègues / Travail
école,
bateau,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... Elle le rassure aussi et les sentiments se lâchent, ouvrant les vannes aux mots d’amour passionnés. Insensiblement, sa main se porte sur son sexe puis cherche son chemin sous la culotte. Il sera temps demain, quand ils se retrouveront, d’envisager les choses qui fâchent ou peuvent fâcher.
Le lendemain, il y a encore des ateliers de travail entre profs, par niveaux. Françoise y participe, ils ne font que se saluer. Elle est magnifique dans sa petite robe d’été, légèrement transparente à contre-jour, permettant juste d’imaginer les longs fuseaux de ses jambes. Ils attendent sagement la pause méridienne, il n’y a plus de cantine et tout le monde sort pour deux bonnes heures. La porte soigneusement fermée à double tour, ils se jettent l’un sur l’autre comme des morts de faim. Jamais Jérôme n’aurait pu imaginer rien qu’un instant faire l’amour à cette superbe femme sur son bureau, et pourtant… Après l’assaut dévastateur, un tour aux toilettes leur permet de recouvrir une apparence à peu près convenable, si ce ne sont les blancs des yeux injectés de sang qui prendront quelques dizaines de minutes supplémentaires.
— Il faut qu’on parle, dit Françoise. Je suis très tracassée.
— Vas-y, dis-moi ?
— D’abord, cette relation me rend très heureuse. Je n’y croyais plus et pensais finir vieille fille. Tes craintes étaient partagées et nous voilà tous deux rassurés. Mais ça ne résout pas tout.
— Quel est le problème ? Je suis libre et toi aussi, non ?
— Plusieurs problèmes. Un, le ...
... boulot. C’est plutôt compliqué de travailler ensemble et d’entretenir une relation amoureuse.
— C’est vrai, j’y ai pensé aussi, longuement. Mais les sentiments que j’éprouve pour toi sont plus forts. Il faut donc faire avec…
— Deux et trois, parce qu’ils sont intimement liés : ma sœur et notre maison. Je ne peux pas abandonner ma sœur dans cette grande maison pour venir vivre avec toi. Et puis tu as vu, je préfère y habiter plutôt que dans un logement de fonction.
— Y a pas photo ! En somme, tu souhaiterais qu’à terme je vienne vivre chez toi.
— Oui et non, et c’est bien ça qui me pose problème. On n’aurait d’intimité que dans ma chambre, tout le reste est commun. Pas terrible pour nous, et pour ma frangine non plus. Parce qu’avoir sous le nez un couple qui fait l’amour tous les soirs alors qu’elle est seule, je la connais, elle va mal le vivre. Et vraiment, je ne veux pas qu’elle soit malheureuse, j’ai tout fait jusqu’ici pour qu’elle ait la plus belle vie possible malgré tout ce qui nous est arrivé…
— Bien sûr, je comprends, et moi je ne veux pas être celui qui met la zizanie entre vous. Mais je ne vois pas trop, la seule solution c’est qu’elle se trouve un mec.
— Oui, évidemment, ça pourrait solutionner les choses, à condition qu’on puisse s’entendre avec. Pfff… C’est compliqué et ça me travaille depuis le début. Tu vois, j’ai cru soudain au bonheur, et puis il y a une réalité qui me fait descendre de mon nuage.
— Écoute, peut-être aussi que tu veux aller trop vite ...