1. Grande bringue


    Datte: 28/06/2025, Catégories: fh, ffh, freresoeur, Collègues / Travail école, bateau, amour, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... magnifique en prolongement du bassin, ses longues jambes croisées de côté et en partie découvertes par la légère robe noire moulante. Jérôme est fasciné par ce spectacle, il bande et entend plus la mélodie de la voix qui lui parle que les paroles prononcées. Vers onze heures, il se lève pour prendre congé, craignant d’être importun. C’est à ce moment que Françoise s’approche de lui. Il pense à une bise d’au revoir mais elle lui met une main sur l’épaule :
    
    — S’il te plaît, reste, si tu as envie, bien sûr…
    
    Leurs bouches se rejoignent, leurs mains s’affolent, un tourbillon puissant de désir s’empare d’eux, sevrés depuis trop longtemps. La courte robe se plisse sur la taille, les longues mains tirent sur la fermeture à glissière de la braguette. L’instant d’après, la tête blonde embouche le gourdin gonflé de l’homme qui renverse la tête et ferme les yeux de délice. Puis il la fait se relever, baisse la fine culotte de dentelle, une longue jambe se replie pour éliminer l’intruse qui reste accrochée à l’autre cheville. Sans presque d’effort, le dard puissant trouve son chemin sous la touffe blonde déjà détrempée de cyprine, les longs bras se referment derrière le cou et d’un sursaut les longues jambes quittent le sol pour s’enrouler autour des hanches du mâle. Il prend les fesses pommées à pleines mains et s’engage dans l’escalier…
    
    — o-o-o-o-o-o-
    
    Les deux filles en sont là de leurs supputations lorsqu’on sonne au portail. Martine bondit et se retrouve nez à nez avec une ...
    ... jeune fleuriste qui porte un énorme bouquet de roses rouges.
    
    — Mademoiselle Lometin ?
    — Oui ?
    — C’est pour vous, il y a un courrier avec…
    — Merci. Ah, non, c’est pour ma sœur, mais elle est là. Dommage…
    
    Le portail refermé, Martine a la délicatesse de donner le courrier à sa sœur et rentre installer les roses dans un vase. Mais elle ressort bien vite, tout excitée, en demandant :
    
    — Alors ?
    — Tiens, lis.
    — Ben, ma vieille, celui-là à l’air bien accroché. Compliments.
    — Ouais, on dirait. En plus, je le connais depuis presque un an dans le travail, et je suis persuadée qu’il est sincère.
    — Eh ben alors ? Champagne ! T’as pas l’air vraiment heureuse…
    — Non, c’est vrai. J’ai souvent souhaité ce moment, et maintenant que ça arrive je me pose plein de questions…
    — Comme quoi par exemple ?
    — D’abord, y a le boulot, c’est mon chef et ce n’est guère compatible. Ensuite, y a toi, notre vie à toutes les deux, notre maison…
    — Attends, tu m’as élevée, tu as sacrifié ta jeunesse pour moi, déjà. Tu crois pas que ça suffit ? Et puis notre maison reste notre maison, il a qu’à venir vivre ici. Quant au boulot, il y a des tas de couples qui travaillent dans la même boîte.
    — Oui, je sais tout cela, mais malgré tout, j’ai besoin de réfléchir… Dans un premier temps, je vais l’appeler et le rassurer. C’est drôle comme il était aussi inquiet que je ne l’étais…
    
    Elle monte dans sa chambre, s’étend sur le lit et compose le numéro de Jérôme. Sa voix la rassure et lui fait du bien. ...
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