Grande bringue
Datte: 28/06/2025,
Catégories:
fh,
ffh,
freresoeur,
Collègues / Travail
école,
bateau,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
D’un index hésitant, Martine pousse légèrement la porte qui n’est pas clenchée. Attirée par les plaintes et gémissements de sa sœur, elle la voit nue sur son lit, cuisses grandes ouvertes, avec entre elles la tête de l’homme avec lequel elles ont dîné. Il est rare que Françoise invite quelqu’un chez elles, surtout des hommes, et encore plus que celui-ci finisse dans sa chambre. C’est vrai que c’est un beau spécimen, en costume il a beaucoup de classe, mais là, nu, à genoux devant le lit le dos cambré et ses fesses musculeuses dressées, il n’est pas mal du tout. La taille marquée, le dos bien en V, velu sans excès, un souvenir de bronzage de l’année précédente encore visible à une légère marque de maillot, le bougre s’active vigoureusement aux bruits humides que sa bouche émet sur l’intimité de sa sœur. Elle respire bruyamment en sifflant entre ses dents et exhale bouche grande ouverte en poussant des « Ahhh ! », « Oh oui… », « Oh c’est bon… » en se triturant elle-même les tétons.
Le cœur de Martine bondit dans sa poitrine à la vue de ce spectacle encore inconnu, en vrai et pas sur un écran, et là tout près d’elle, avec sa sœur adorée de surcroît. Justement, Françoise vient de dépasser la limite des sensations supportables et se cabre soudain, tétanisée par le plaisir, poussant un dernier et interminable « Argh… » de bonheur. L’homme se redresse alors et Martine voit son sexe épais et long dressé vers le plafond, et qui suit le corps puissant qui s’installe entre les ...
... cuisses toujours ouvertes. Sa bouche luisante de sécrétions vient s’emparer de celle de Françoise en murmurant :
— Goûte sur mes lèvres la délicieuse liqueur de ton plaisir.
Martine trouve cela si beau, si romantique, que ses yeux s’embuent légèrement, pas assez pour qu’elle n’aperçoive pas le puissant mandrin, guidé par une main agile, pénétrer sans effort la grotte humide de sa sœur qui émet un grognement étouffé. Aussitôt, bras et jambes se referment sur le corps athlétique dont le bassin oscille pour faire sa place. Puis le pilonnage commence, lent d’abord puis de plus en plus vigoureux et ample. Françoise hoquette à chaque coup de boutoir, la main de Martine, fascinée, froisse sans y penser le bas de sa chemise de nuit et plonge entre touffe et petite culotte déjà détrempées. Le round dure de longues minutes, mais Françoise qui est restée à mi-chemin du septième ciel a tôt fait d’y grimper à nouveau. Une violente accélération sur son clitoris porte Martine à la même altitude que sa sœur. Elle croit l’affaire terminée, mais c’est sans compter avec l’appétit du monsieur qui n’a pas lâché sa salve.
Il retourne Françoise et lui lève la croupe, s’agenouillant entre ses jambes, et l’enfile d’un magistral coup de reins jusqu’à la garde. Françoise glapit. Les grandes mains de l’homme s’enfoncent dans la tendre chair des hanches, les fines mains de Françoise se crispent sur les draps. Le pilonnage reprend, plus violent que jamais, ponctué par le bruit des corps qui ...