1. Le plaisir n'a pas de genre


    Datte: 26/06/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation massage, caresses, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... peut-être aussi bisexuelle et tu ne le sais pas, pour ton malheur et le mien. Moi aussi je suis une perverse manipulatrice, Mag, parce que j’ai fait exprès de me trouver là quand tu es partie courir dans ton beau training vintage. Je voulais te faire admettre qu’une beauté comme toi, aussi lumineuse, séduisante, n’a pas le droit de s’enlaidir ainsi, alors que cela ne me regardait aucunement. Je voulais te transformer selon mes fantasmes à moi, et crois-moi, question fantasmes, je sortais d’une relation riche en exigences… Pour ne rien arranger, Julien était tout à fait de mon avis, tu lui avais tapé dans l’œil, à mon homme. Heureusement, face à nos commentaires plutôt intrusifs, tu as été incroyable d’ouverture d’esprit, de compréhension, me demandant même de t’aider à te fringuer en vraie femme. Ça, je n’avais pas prévu, j’aurais dû te conseiller quelqu’un d’autre, vu que je n’ai pas de compétences en ce domaine, mais je n’ai pas été assez forte pour éloigner cette occasion d’être tout près de toi, et c’est là que j’ai fauté, incapable de gérer mes pulsions sexuelles à bascules. En fait, ce que j’avais dans l’idée – idiote, j’en conviens –, c’était de t’habiller exactement comme Isabelle, en traîtresse, en égoïste très attachée à son apparence, hautaine, pensant que de te voir ainsi allait me donner l’occasion de me venger, de faire subir à une autre ce que j’avais enduré à la fin de notre relation, une victime expiatoire en quelque sorte. La suite tu la connais, c’est ...
    ... exactement l’inverse qui s’est produit. Je t’ai moi-même aidée à te « déguiser », je t’ai caressée traîtreusement, je t’ai fait inonder tes dessous (enfin, les miens… !) et je t’ai même poussée à te masturber devant moi afin de pouvoir faire de même tellement j’étais folle de désir. Tu sais, ma chérie, même « déguisée » en poison, on ne peut pas te faire de mal, tu restes belle à en perdre le nord, confondante de candeur, et ma boussole est complètement déréglée.
    — J’avoue, Séverine, que si tu avais… posé tes mains plus… plus… longuement sur moi à ce moment-là, c’est vrai que je n’aurais pas beaucoup résisté… Tu aurais pu faire de moi ce que tu voulais, j’étais comme un fruit mûr demandant à être cueilli, et tu l’as bien senti, toi, ma jeune beauté si troublante.
    
    Je la serrai plus fort contre moi.
    
    — Évidemment, mais je m’étais juré de ne pas craquer, sortant d’une relation douloureuse avec une femme de ton âge. Hélas, je n’ai pas eu la volonté suffisante, alors, quand tu es rentrée chez toi, j’ai repris mon/notre shorty bleu, celui que ta chatte avait copieusement imbibé. Il dégageait une puissante odeur de sexe, il était collant, mais je l’ai enfilé et me suis allongée sur le lit, là où tu t’étais branlée devant moi. Je me suis caressée à travers le tissu, Magali, comme une folle, et j’ai giclé abondamment, mélangeant ainsi nos plaisirs en criant ton prénom. Puis, jambes repliées sur mes seins, j’ai laissé couler lentement les sucs d’amour tièdes que mon corps venait ...
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