Le grand jour
Datte: 18/06/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
intermast,
Oral
fdanus,
jouet,
lavement,
uro,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... retrouve un semblant de courage.
Je vois de nouveaux ornements couronner mes aréoles. Les pinces s’étalent en étoile autour des tétons. La douleur revient peu à peu. Dans mes seins, veux-je dire. Celle de ma chatte n’a jamais disparu. Le panier se balance toujours entre mes cuisses. Le sang bat dans mes lèvres et dans mes mamelons. Je reprends mes halètements, ça aide à supporter. On me l’a appris, des souvenirs remontent qui n’ont rien à faire ici.
Maîtresse Colette me caresse. Ses mains passent doucement sur mes cuisses, les flattent et remontent sur mes hanches, mon ventre, mes flancs, et me font soupirer d’aise. Le dos de ses doigts frôle les marques des pinces, leur pulpe les apaise. La souffrance s’estompe à ces attouchements tendres qui réveillent les papillons endormis dans ma chatte. La torture de la pince qui l’écrase se fait moins prégnante. L’excitation monte lentement, mes seins respirent et mon vagin se mouille. Je suis étrangement heureuse, une torpeur bienfaisante m’envahit.
Un éclair me secoue. Un téton se révolte contre son agression. La douleur me traverse en se communiquant à l’autre. Mes yeux s’agrandissent de surprise. Les pichenettes se succèdent au bout de mes seins. Chacune impulse une onde vive qui se diffuse en vagues dont la multiplication frise l’insupportable. J’en gémis d’abord, j’en geins ensuite. Les cris étouffés que je ne peux dominer n’empêchent ni la distribution des chiquenaudes, ni son accélération. Mes tétons vibrent à chaque ...
... impact, mais n’en durcissent que mieux. Je ne sais ce qui fait le plus mal, de leur turgescence ou des ongles qui la provoquent. Mon esprit se brouille et mon courage vacille.
— Pitié, Maîtresse ! Arrêtez, par pitié ! Par pitié, je vous en prie…
— Non !
Pourquoi ai-je supplié ? Je sais l’inutilité des prières et des pleurs. Sustine et abstine, souffre et supporte, ou bien abdique. Il suffit d’un mot… Mais quoi ? Abandonner, ce n’est pas que la fin de ma souffrance, c’est aussi m’interdire le plaisir qui se répand insidieusement en moi.
La volonté triomphe de la peur, ou peut-être est-ce la tentation d’une jouissance plus forte… Je me redresse, j’inspire profondément, je gonfle une poitrine tiraillée de douleur, mais ma voix s’affermit.
— Merci. Merci, Maîtresse.
Le bref sourire qui accueille ma reddition sans condition me réconforte définitivement. Ma Maîtresse est satisfaite et j’en suis fière. Je ne tremble pas quand les pinces mordent la base de mes tétons. Je souris quand la croix qu’elles forment se relie à l’étoile des précédentes : ce ne sont plus des seins, mais des cibles, que j’expose. Vais-je offrir ma poitrine à un jeu de fléchettes ? De crainte ou d’espoir, l’idée me glace le dos et me chauffe la vulve. Tiens ! Elle est toujours écrasée, la pauvre. J’avais oublié ce détail.
Ce n’est pas une pointe, mais une pince qui tourmente mon téton droit, et je le regrette ! La pointe n’aurait fait qu’une piqûre. La pince le presse et l’aplatit comme un ...