1. Le grand jour


    Datte: 18/06/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), intermast, Oral fdanus, jouet, lavement, uro, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... plante dans mon cul. Ouch ! Il entre de tout son long en me poussant vers le haut. Je le serre convulsivement. Ce n’est pas une caresse, pourtant j’y prends goût. Une fois debout, j’en ai honte. Le doigt me quitte aussi brutalement qu’il m’a enculée. J’ai encore plus honte de regretter son absence…
    
    Maîtresse Colette me désigne de l’index la croix en X fixée au mur. Yeux durs et voix impérative. Je m’y rends en tremblant malgré moi. Je la vois sucer son doigt. Le même qui était dans mon cul ?
    
    — Colle ton dos au bois, les bras et les jambes le long des branches.
    
    J’obéis. Mes poignets et mes chevilles rencontrent des bracelets de cuir. Elle fixe les boucles assez étroitement pour empêcher que je me dégage, sans pour autant me garrotter les membres. Plus inconfortable que douloureuse, sur le moment, la position expose sans défense les zones les plus sensibles de ma partie face. Mes bras ne montent pas très haut, mais en conséquence mes jambes sont largement écartées, moule ouverte. Sentiment de gêne délicieusement érotique d’être livrée à l’examen de mon anatomie.
    
    Maîtresse Colette la considère sans aménité et la palpe sans douceur.
    
    — Tu aurais une jolie taille, s’il n’y avait pas de graisse en trop. Tes seins sont encore bien foutus, dommage qu’ils tombent déjà. Les tétons sont épais, mais un peu trop courts, malheureusement. Il faudrait les allonger, tes aréoles paraîtraient moins larges. Là, on dirait des soucoupes. Des soucoupes grumeleuses en plus ! Il y a ...
    ... même des poils, beurk !
    
    Elle exagère, elle caricature, elle est blessante. Je sais que c’est volontaire, je me sens quand même humiliée. Elle tripote ce qu’elle décrit, pince et tire, étire et tord. Rudes attouchements qui me font crier malgré mes bonnes résolutions. Pourtant, à chaque aréole comprimée, à chaque téton malmené, la douleur qui me traverse me réchauffe au fond du ventre. Mes seins se tendent, les bouts durcissent, mon cœur cogne dans ma poitrine.
    
    — Tu n’enlèves jamais tes poils, sous tes aisselles ?
    — Mais si, Maîtresse !
    — Ne réplique pas ! Si tu le fais, tu le fais mal. Ou tu laisses tes poils au naturel, ou tu t’épiles pour être lisse. Pas comme ça : on dirait que tu as de la barbe, là, et là !
    
    Ouch ! Ça fait un mal de chien quand elle attrape méchamment la peau fragile et la secoue en tous sens. Les larmes me viennent. Je crie, je renifle, elle rit.
    
    — Allons, allons, pleurer pour si peu… Mais tu oublies quelque chose, ajoute-t-elle en me fixant.
    — Merci Maîtresse, me reprends-je. Pardon, Maîtresse.
    — N’oublie plus, me conseille t’elle d’une voix douce en vrillant la peau sous mes deux aisselles à la fois.
    — Aaaah, AÏE ! Mer… ci Mai… tresse.
    
    Elle me lâche, je respire. Elle se recule. La douleur est passée, je suis mécontente de moi. Ses doigts saisissent ma touffe pour étirer mon sexe. Je me crispe.
    
    — Au moins tu as une belle chatte. Elle serait superbe, tout enflée, après une séance de cravache…
    — Oui Maîtresse.
    — N’y compte pas ! Je te ...
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