1. Quatre petites chansonnettes


    Datte: 08/06/2025, Catégories: fh, fffh, nostalgie, portrait, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Vous avez fait très fort avec cet orchestre. Vraiment excellent. Comment s’appelle-t-il ?
    — « Juste un soir » ! Des copains qui se retrouvent rien que pour nous. Mais comment sais-tu que je suis dans l’organisation de la soirée ?
    — Je t’ai vu à l’entrée, tu faisais le contrôle dans l’autre file. Un beau mec ça se repère !
    — Ah d’accord. Si tu avais été dans ma file, je t’aurais repérée aussi. Tu me plais beaucoup, sais-tu ?
    — Je le sens bien.
    — Oups ! Désolé, mais…
    — Pas de souci, je prends ça pour un compliment.
    — J’ai très envie de t’embrasser, mais je n’ose pas en public…
    — Essaie dans le cou, ce sera plus discret.
    
    Mes affaires étaient en bonne voie. Elle me parla un peu d’elle, fille de toubib habitant le centre-ville, elle-même étudiante en médecine et en stage aux urgences de l’hosto. Nous avons terminé la longue série de slows collés l’un à l’autre. Le final s’est annoncé, une sorte de medley plutôt jazzy. Le pianiste avait déshabillé le piano et était parti en plein délire musical, les autres le suivaient. Génial ! Génial, mais nous avions mieux à faire. Je lui proposai de visiter une chambre de cité U, à mon grand étonnement elle accepta. Nous voilà dans ma chambrette de neuf mètres-carrés.
    
    — Tu bois quelque chose ?
    — Pourquoi pas.
    — Café ou… café ?
    — Alors pour moi ce sera café.
    
    On l’a bu, mes mains étaient moites et ma tasse tremblait. Avec un incroyable naturel, elle s’est ensuite dépouillée de sa robe, de ses dessous, a tout rangé ...
    ... soigneusement sur l’unique chaise et s’est étendue sur le lit. J’ai massacré deux boutons de chemise pour me mettre à l’unisson et la rejoindre. Angoisse du premier saut en parachute, maladresse du débutant, ahurissement devant ce corps sublime… Sa bouche, ses seins, trop vite, trop mal. Et vite ma queue sur-dilatée dans cet antre humide et chaud. Elle tenta de me contrôler, de me ralentir en m’entourant de ses bras et de ses jambes, en me plantant ses talons dans les fesses. Mais j’étais ailleurs, tutoyant les comètes, et je prenais cela pour une incitation à aller plus vite, plus fort, plus loin. Enfin le voile du grand mystère se déchirait. J’ai fait le lapin comme un forcené jusqu’à l’explosion qui m’a dévasté le corps et la tête.
    
    — Ben dit donc, me dit-elle quand je repris mes esprits, pour une urgence c’était une urgence. Et moi alors ? Petit égoïste qui ne pense qu’à son plaisir. Ne t’inquiète pas, on va arranger ça tout de suite.
    
    Elle m’a basculé sur le dos et s’est mise à me pomper avec dextérité et application. Quand l’organe eut repris la taille et la fermeté désirée, elle m’a enfourché et s’est payé un long tour de manège, parfois au trot, parfois au galop. J’essayais de maîtriser ses seins qui tressautaient devant moi, d’en gober un de temps en temps, jusqu’à ce qu’elle tétanise à son tour et s’effondre sur moi. À moi d’être frustré, je n’avais pas suivi. Il fallait donc recommencer. Elle m’offrit sa croupe somptueuse, et là nous parvînmes enfin à nous accorder pour ...
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